Bulletin n° 5 - octobre 1980 -
3/1980
l - Communications, Informations générales, Notes diverses
- La prochaine Assemblée Générale aura lieu en Janvier 1981 à
Paris
Adressez-nous, dès à présent, les questions que vous souhaitez voir inscrire à l'ordre
du jour, ainsi que votre candidature éventuelle au Conseil d'Administration que nous
comptons élargir. Une convocation sera adressée à chaque membre du Cercle en temps
utile.
- L'Assemblée Générale du 8 décembre 1979 a autorisé le Conseil d'Administration à porter la cotisation, à partir du 01.01.81, à une valeur comprise entre 35 et 40 F. Nous avons fixé la cotisation 1981 à 35 F. Nous rappelons qu'elle couvrira la période du 01.01.81 au 31.12.81 et donnera droit au service du Bulletin.
- Chaque membre du CGPTT peut faire paraître directement une
question dans "Héraldique et Généalogie", le Bulletin de la Fédération. La
procédure à respecter scrupuleusement est la suivante : une seule question par feuille
(d'au moins 21 x 15 cm). Soyez brefs (il faut de la place pour tous et les questions
longues ne sont pas lues), ne posez pas de questions trop générales, indiquez d'une
manière précise le point où vos propres recherches ont abouti, mettez votre nom au bas
de chaque question, envoyez les questions à :
M. Gérard de Villeneuve
Rédacteur en chef de "Héraldique et Généalogie"
11, boulevard Pershing
78000 Versailles
en donnant votre adresse et en indiquant votre appartenance à notre Cercle. N'envoyez pas
de double de votre question à une quelconque autre adresse.
- Nous envisageons de publier une table générale des patronymes contenus dans nos Bulletins. Nous reprendrons cette question lorsque le nombre de ces patronymes nous paraîtra suffisamment élevé.
- Dénomination de notre Bulletin (par. 4.8 du Bulletin n° 2) : le coureur de Marathon s'appelait "Philippidès"; il semble difficile de baptiser notre Bulletin de la sorte. Le concours reste ouvert.
- Au 26 juin, nous comptions 184 membres. Nous dépasserons donc les
200 à la fin de l'année.
Voici la répartition par régions administratives PTT :
Ile de France | 84 |
Paris | 28 |
|
Banlieue | 41 |
|
Autre | 15 |
Région de Rennes | 27 |
Région d'Orléans | 18 |
Régions de Bordeaux et de Marseille |
chacune : 9 |
Région de DiJon | 7 |
Région de Lyon | 5 |
Régions de Nancy de Nantes et de Rouen |
chacune : 4 |
Régions de Toulouse et de Montpellier |
chacune : 3 |
Régions de Chalons-sur-Marne de Clermont-Ferrand et de Poitiers |
chacune: 2 |
Région de Strasbourg | 1 |
Autres régions | 0 |
Autre mode de répartition :
. Adhérentes féminines : 55
. Adhérents masculins : 115
. Indéterminés :
14 (prénoms bivalents ou incomplets)
Nous nous félicitons de la forte participation féminine, beaucoup plus élevée que dans
les autres Cercles de Généalogie.
- Pour différentes raisons, le volume du Bulletin est limité. Nous sommes donc souvent obligés de reporter à des Bulletins ultérieurs l'insertion de listes de patronymes, de questions, etc... Nous prions leurs auteurs de nous en excuser.
- La microfilmothèque de la Société Généalogique des Mormons
est ouverte à Versailles, 5 Rond-Point de l'Alliance (Eglise de Jésus-Christ des Saints
des Derniers Jours). On peut y consulter les microfilms de registres paroissiaux et
d'état-civil conservés à Salt Lake City.
Le responsable de cette filmothèque est M. Jean-Pierre Massèla, adresse ci-dessus, tél
: 955.39.14.
- Parmi les sources qui pourront vous guider dans vos recherches n'oubliez pas les souvenirs de vos grands-parents, de vos grands-oncles, de vos grands-tantes. Notez, ou mieux, prenez sur magnétophone, s'ils sont d'accord tout ce qu'ils pourront vous dire sur leur ascendance et leur environnement- il y a là une source irremplaçable et des plus précieuses.
- Nous ne saurions trop insister, sans nous lasser,
sur l'intérêt, ou mieux, sur la nécessité, qu'ont les débutants et aussi les
"moins débutants" à lire les trois ouvrages de base qui font l'unanimité de
tous les Cercles et que nous avons indiqués dans notre Bulletin n° 1 :
* "La Généalogie" par Pierre Durye, "Que sais-je ?", N° 917, 5ème
édition, 1979
* "La Généalogie" par Norbert Hézelles et Nadine Vigier, Collection
"Manuel de l'amateur", Marabout, 1980
- "A la recherche de nos ancêtres" par Yann Grandeau (+), Stock, 1974
- Nous continuons d'explorer les possibilités de gestion
informatique, et nous espérons aboutir. En attendant, continuez de nous adresser
vos tableaux de patronymes sous la forme déjà indiquée : liste alphabétique des
noms de famille de vos ascendants et de tous les autres patronymes que vous aurez
pu rencontrer au cours de vos recherches, pour chaque patronyme :
. dates extrêmes, au besoin approximatives ou estimées (utilisez les signes conventionnels
indiqués dans le Bulletin n° 1)
. localités successivement habitées, autant que possible par ordre chronologique
descendant.
Vos listes seront publiées dans les Bulletins.
2 - Réunions régionales
- Groupe "Bretagne"
En annexes 3 et 3 bis, compte rendu de la réunion du 17 juin 1980
et questionnaire.
- Groupe "Ile de France"
En annexe 4, compte rendu des réunions du deuxième trimestre.
Prochaines réunions : 14 octobre, 18 novembre, 9 décembre.
- Groupe "Généalogie"
du Centre de loisirs des PTT d'Orléans
Ce groupe comporte près de 50 personnes inscrites. Les réunions
ont lieu tous les 2 mois et sont suivies par 8 à 15 personnes chaque fois.
Les animateurs conseillent les collègues qui débutent en généalogie
et, d'autre part, essayent de répondre aux questions qui leur sont posées
par ceux qui ont des problèmes. L'adhésion au C.G.P.T.T leur a
été conseillée. Il est curieux de constater que ce groupe
comporte une forte
majorité de jeunes dames ou demoiselles. N'ayant pas de frais, l'adhésion
au groupe est gratuite.
Il serait souhaitable que de tels groupes soient constitués dans d'autres
villes, notamment les sièges de régions qui comptent beaucoup d'agents
de notre Administration.
André GALLIOT N° 16
NDLR : Il serait également souhaitable que ces généalogistes amateurs PTT rejoignent notre Cercle, où ils seraient accueillis à bras ouverts.
Paul MARTIN N° 1
3 - Le service central de l'état civil du Ministère des Affaires Etrangères
Le Service Central de l'Etat Civil a été créé par un décret du 1er juin 1965. Il a pris la suite de l'ancien bureau de l'état civil consulaire.
Ce service a été installé à Nantes dans le cadre de l'opération de décentralisation du Ministère des Affaires Etrangères. C'est une organisation particulière de l'Etat Civil pour les Français à l'étranger.
Cet état civil dit "consulaire" s'est développé depuis la Révolution, parallèlement à l'état civil métropolitain, au fur et à mesure que le nombre de nos compatriotes séjournant à l'étranger s'accroissait.
Nombreux sont les Français qui sont nés et ont vécu dans des pays placés autrefois sous l'autorité française. Quant au nombre de ceux qui résident actuellement hors de France, il s'élève à près d'un million.
Les usagers virtuels du Service Central de l'Etat Civil du Ministère des Affaires Etrangères sont donc tous nos compatriotes résidant actuellement à l'étranger, qui y ont résidé ou y ont été simplement de passage et dont un évènement d'état civil de la naissance au décès, en passant par le mariage, le divorce, l'adoption, la reconnaissance, etc... a marqué le séJour.
La création du Service a répondu au souci d'essayer de regrouper au sein d'un même organisme la conservation et l'exploitation de l'état civil des Français à l'étranger et de rassembler des activités jusque là fractionnées entre plusieurs départements ministériels. En dehors du Ministère des Affaires Etrangères dont il dépend, ses correspondants privilégiés sont le Ministère de la Justice, gardien de la loi, le Ministère du Travail, le Ministère de la Défense (pour les combattants morts hors de France), le Secrétariat d'Etat à la Marine Marchande (pour les "péris" en mer") ainsi que les Mairies et Parquets et, bien entendu, nos postes diplomatiques et consulaires.
Si cet Etat Civil est soumis aux mêmes prescriptions législatives et réglementaires que celui de la Métropole, ses structures et ses modalités d'application marquent cependant quelques différences.
A l'étranger, en effet, nos compatriotes s'adressent fréquemment aux offices d'Etat Civil du pays où ils se trouvent. Les actes ainsi établis sont régis par le droit du lieu d'établissement. Pour être valable en France, un acte étranger doit avoir été établi conformément aux formes usitées localement (art. 47 du Code Civil); il faut, en outre, qu'il ait été traduit par un traducteur assermenté et que la signature de l'autorité qui l'a adressé ait été légalisée. Afin d'éviter ces complications et toutes les fois que le pays d'accueil n'autorise pas nos autorités consulaires à établir un acte d'état civil (ce qui est assez fréquent) nos compatriotes ont la faculté de faire "transcrire" leur acte étranger sur les registres de l'état civil tenus dans nos postes consulaires. Cette transcription a pour effet de "franciser" le document et de l'assimiler à un acte établi en France. Son exécution nécessite toutefois un certain nombre de précautions : vérification de la nationalité française, contrôle de la validité de l'acte au regard de la loi étrangère et conformité avec les lois françaises. Ces contrôles sont assumés par les chefs des 254 missions diplomatiques et consulaires françaises réparties à travers le monde et qui assument les fonctions d'officier de l'état civil, et ensuite par le Service Central de l'Etat Civil des Affaires Etrangères qui reçoit les doubles au cours du mois de janvier de l'année suivante, et en assure la vérification. Au préalable, il a été appelé à régler des cas d' espèce et à préparer les solutions à des problèmes de caractère général, en liaison avec le Ministère de la Justice.
Mais, la tâche la plus lourde du Service Central est la conservation, la mise à jour et l'exploitation de l'Etat Civil.
Voici quelques chiffres :
12 millions d'actes dont les 2/3 en registres et le 1/3 en microfilms soit :
3 millions et 1/2 d'actes établis en Algérie avant
l'indépendance,
4.200.000 établis dans les protectorats du Maroc et de la Tunisie et dans nos anciens
territoires coloniaux.
3 millions 1/2 proviennent des états civils consulaires,
500.000 actes reconstitués par le Ministère du Travail pour les Français par
naturalisation et réintégration;
150.000 actes reconstitués au titre de la loi du 25 juillet 1968 (autorisation de
reconstituer les actes manquants),
et enfin 150.000 actes déposés.
Les archives s'accroissent de 100.000 actes par an.
J'ai eu le plaisir de visiter le Service en novembre 1978 avec un groupe de généalogistes nantais. Ses effectifs sont de plus de 300 agents sous les ordres d'un chef de service et de son adjoint "conseillers des affaires étrangères", et d'un magistrat conseiller juridique. Les locaux, dans un immeuble moderne, mis en service en 1972, ont une superficie de 3.700 m2. Le matériel est très adapté : des classeurs, des murs de classeurs, mais ce qui frappe surtout, de lourds tourniquets rappelant les présentoirs. On remarque un tourniquet qui contient 20.000 photostats et un classeur de 600.000 fiches qui pèse 5 tonnes.
Le Service Central reçoit environ 2.000 lettres par jour venant des particuliers, des consulats et autres administrations et des mairies françaises. Il délivre prés de 400.000 extraits ou copies d'actes, et établit ou complète plus de 20.000 livrets de famille, tous les ans.
Voici l'adresse :
Service Central de l'Etat Civil du Ministére des Affaires
Etrangères
44035 Nantes Cédex
Les demandes ne peuvent être formulées que par les intéressés ou pour les ascendants directs.
Malheureusement, nul n'est admis à effectuer des recherches personnellement, même au-delà de 100 ans, dans cette insolite mairie des français de l'étranger. Ce qui est bien dommage ! Car imaginez le plaisir de généalogistes découvrant
- l'acte de baptême dressé en 1800, dans la chapelle des français émigrés à Londres, de Louis Charles d'Orléans (né à Paris le 7/10/1779) dont le parrain n'était autre que Louis XVIII représenté par son frère Charles Philippe de France,
- la signature de Lamartine, figurant sur les registres de l'état civil de la légation de Florence où il a été secrétaire,
- et celle de Châteaubriand sur le PV d'ouverture du registre tenu à l'Ambassade de Rome, en 1829,
- l'acte de décès de Napoléon III, qui figure en 1873 dans les registres du Consulat de France à Londres (et qui indique les causes de la mort de l'Empereur à Chislehurst),
- enfin l'acte le plus ancien : un acte de baptême en 1795 par un prêtre français exerçant en Grande Bretagne,
- j'oublie un acte de mariage de 53,5 cm x 40,5 cm... et un acte de naissance enregistré à Formose, qui comporte les empreintes des pieds de l'enfant... ce qui ne manque pas de surprendre.
Oui, quel dommage !
Qu'ils soient nés en Turquie ou en Guyane Anglaise, morts sur un bateau ou en captivité en Allemagne, mariés au Canada ou à Madagascar, adoptant d'un petit coréen ou d'une petite cambodgienne, qu'ils aient tout perdu au Liban ou aient été spoliés par les nationalisations à Cuba, qu'ils soient disparus quelque part dans le monde, toute leur vie de citoyen est là, classée, répertoriée, consignée. Enorme registre qu'on aimerait feuilleter avec l'impression de tourner à la fois les pages de la géographie et de l'histoire. Tant il est vrai qu'on ne peut pas avoir vécu hors de la mère patrie sans être mêlé, de près ou de loin, aux évènements, aux guerres, aux accessions à l'indépendance. A tout ce qui constitue, en somme, les grandes Affaires Etrangères.
Jean HERBRETEAU N° 8
4 -Filières
A l'attention de M. JOBARD (N° 27)
Relevé dans le département de la Côte-d'Or :
. A Bévy : Famille BOUDROT (Tél. : 61.41.52)
. A Dijon : Familles BERNIGAUD, 2 rue Millotet (Tél. : 41.46.20) et 22 rue Blondel (Tél.
: 43.43.77)
. A Salmaise : Famille DEPARLON (Tél. : 35.81.26)
Ma source est. bien entendu, l'annuaire téléphonique, édition 1980.
P. ARCHASSAL N° 52
A l'attention de M. PERROT (N° 87)
J'ai dans mes quartiers :
112 - Toussaint PERROT ° (?) x Marie LELEVIEX
56 - Louis PERROT ° S Nivose An 4 à Plourmillau (22) + 13.04 1838 x 23 Ventose An 12
Anne LE BAIL de Pleumeur Bodou
28 - Yves PERROT ° 6.02.1831 Pleumeur-Bodou (22) x ? Marie Jeanne LEMOAL de P.B.
14 - Jean-François PERROT ° 15.04.1875 à P.B. X 19 01 1898 à P.B. + 02 07 1914 Servel
(22)
P.DERET N° 143
A l'attention de M. CHESTA (n° 2)
DORé Jean François - PTT La Valette 83160
A l'attention de M. RETOLRNE (n° 33)
DIOT Nanette. ° le 04.08.1798 à Nevers, fille de Hilaire, alliée à ma généalogie.
A l'attention de M. PHILIPPE (n° 23)
PHILIPPE Marcel ° 1905 71 Cluny
PHILIPPE Marie ° 1901 71 Cluny
PHILIPPE Pierre ° 1900 71 Cluny
A l'attention de Mme MARTY (n° 59)
MARTY Robert - PTT 83160 La Valette du Var
A l'attention de M. SALLIOT (n° 16)
MAINFROY. Avenue de la résistance 83000 Toulon
A l'attention de M. ARCHASSAL (n° 51)
CHENU Paul ° 18.08.1796, fils de Jean et REMOND Marguerite, 58 Imphy, fait parti de ma
généalogie .
A l ' attention de M. CAGNASSO (n° 103)
Alliés à ma généalogie:
PELLETIER née CHENU Marie Louise ° 01.03.1870 71 Le Creusot
PARISE Antoine ° 1.11.1869 71 St Emiland, fils de Philibert et de Jeanne Ursule DESCHAMPS
(° 1843 + 28.10.1910) 71 Le Creusot
Non alliés:
RUA Castanza 1870/1935 Casteldelfino (Italie)
RUA Maria Caterina 28/1894 S/4/1966 Casteldelfino (Italie)
RUA Caterina 6.7.1890 29/08/1969 Casteldelfino (Italie)
RUA G. Chiaffredo 23.10.1877 23/01/1966 Casteldelfino (Italie)
RUA Giovanni Pietre 19/10/1896 2/08/1973 Casteldelfino (Italie)
RUA Rosa (épouse) PHILIP 17/10/1885 23/02/1960 Casteldelfino (Italie)
Madame RUA Denise N° 82
A l ' attention de M. MATTRAT (n° 25)
Jean MATTRAT, âgé de 60 ans le 31.10.1827, vigneron à Nevers.
Mlle GOURDET Y. N° 7
A l ' attention de M. LECOMTE (n° 3)
SCHWINDENHAMMER
. Livre de bourgeoisie de la ville de Strasbourg : =1440-1530 Schwing'den hammer (celui
qui balance le marteau)
. Dans mon ascendance: Béatrice Marie SCHW. °/1702, + 1747 Landser (68) ?, oo Fransois
Valentin WIDERSPACH; elle est la fille de Adam Henri SCHW., procureur fiscal de Ferrette
(68) °/1680, + 26.02.1744 Ferrette, et de Marie Catherine NANSé, d'Altkirch (68)
. RP Amnnerschwihr (68): 1587 Philippe SCHW., 1622 Barbara SCHW., 1668-1672 Anna Maria
SCHW. épouse de Michaël (H)OMAN. Je vais rechercher dans les villages voisins:
Kaysersberg, Kientzheim,
. RP ingersheim (68): 1806 Joseph SCHW.
. D'après M. Robert Schwindenhammer, de Turckheim, ancien Président de la Chambre de
Commerce de Colmar, sa famille viendrait d'Autriche; il y a des Schw. dans l'annuaire
téléphonique de Linz (Autriche)
. "Dictionnaire biographique des hommes célèbres d'Alsace" : LA MARTELLIERE ou
SCHWINDENHAMMER (marteau : hammer) Jean Henri Ferdinand, romancier, auteur dramatique, °
Ferrette (68) 1760, fils de François Joseph SCHW., greffier de Ferrette.
MARTIN Paul N° 1
5 - Offres et demandes de travaux et d'echanges
- POLOGNE : D'origine polonaise, je dois effectuer mes recherches dans ce pays, mais je ne parle pas cette langue, aussi aimerais-je trouver un collègue susceptible de traduire les demandes et réponses.
MEREY G. N° 172
6 - Notes de lecture
Un phénomène atmosphérique
(Source : registre des baptêmes, mariages et sépultures de la paroisse d'Echilleuses, Loiret, en 1729)
Le dix neuf du présent mois d'Octobre jour de St Savinien a paru sur les 8 heures du soir, un signe extraordinare aux astres, il paroissoit comme des espèces de Piramides qui faisoient comme des lances tanton (tantôt) rouges, tanton de couleur bleue et qui sembloient marcher de rang, comme on vesroit une armée marcher ez queue (à la queue leu-leu) des mailons sembloient courir comme par lair, ils venoient du costé de Puiseaux et Bromeille (deux communes au Nord), et se répandoient partout, le ciel étoit étoillé, on voiait du jour comme il ez paroit a peu près une heure après soleil couché (une heure après le coucher du soleil), la chose a paru si affreuse qu'on a sonné les cloches presque dans toutes les paroisses. Il a duré jusqu'à onze et plus qui est celle ou je me retirois, j'oubliois de marquer qu'il paroissoit encore dans plusieurs endroits des maillons qui étoient comme de feu véritable.
Commentaires :
Cet acte extraordinaire fut insérer dans l'année 1729 entre le baptême de Germain GUENAIN, et la sépulture de Jean COMBIER. Notons aussi que le prêtre l'a écrit une semaine après la parution de ces "signes extraordinaires". J'ai tenu à respecter l'orthographe du texte, qui, je trouve, y donne un côté très pittoresque.
Je demande à tous les chercheurs qui auraient trouvé des actes de ce genre, ou des baptêmes de cloches, de m'en faire parvenir une photocopie à mes frais. Merci.
Pierre ARCHASSAL N° 52
Les perles de l'Etat Civil
Réponse à J.L. Herbreteau.
Lu dans les actes paroissiaux de Laas (Loiret) : Le 18 avril 1736, baptême de Pierre et Louis, fils de Denis Guillaume GOURDON et de Marie POIRIER.
Puis, sous cet acte :
Le lendemain, le père des deux enfants ci-dessus est venu déclarer que les dits enfants sont femelles et non mâles. Le nom de Pierre doit devoir être changé en Perrette et celui de Louis en Louise.
On peut signaler que le père, comme la plupart des habitants de cette commune, était vigneron. Y a-t-il là une raison à cette "erreur" ?
A. GALLIOT N° 16
7 - Liste des patronymes des tableaux de quartiers
Un succès encourageant :
Grâce à la publication des listes de patronymes et à la diffusion de notre bulletin, j'ai été contacté par les représentants du Cercle Généalogique de l'Essonne. Après échange de courrier, ceux-ci m'ont permis de remonter, dans une branche, de 9 générations et de près de 300 ans, atteignant les environs de l'année 1450. Ce résultat sensationnel doit encourager nos collègues à fournir la liste des patronymes de leurs ancêtres.
A. GALLIOT
dictionnaire
des patronymes |
8 - Questions
72 - BIOJON, DUFFLON, VIEZ. Je recherche personnes vivantes ou ayant vécu portant ces noms, et notamment renseignements (N. M, D) sur Auguste Léon VIEZ, vérificateur des poids et mesures, marié à Sophie Emma DUFFLON née le 02.10.1825 à Rosheim (67). Il est né vers 1826, eut 3 enfants connus dont 2 nés à Paris en 1857 et 1860, et habitait Gennevilliers en 1890. L'actuelle administration des Poids et Mesures n'en a pas trace.
A. GALLIOT N° 16
73 - MOISAN, FONTAINE. Pour une dame américaine descendante de
Normandie, je recherche ascendances de Jacques MOISAN et de son épouse Françoise
FONTAINE, de Saint-Jacques de Dieppe, émigrés au Canada en 1648.
74 - THéBERGE, PRéCHAT. Pour une dame française habitant les Etats-Unis je recherche
ascendances de ses ancêtres Louis THéBERGE et Bastienne PRéCHAT, mariage ou naissance
de leur fils Michel 28.02.1715 à Saint-Martin des Biards, diocèse d'Avranches.
Paul MARTIN N° 1
75 - CHENEAU, LECOIN. Tous éléments sur ces familles de Péronville-en-Dunois (Eure-et-Loir) et en anciennes généralités d'Orléans et environnantes .
76 - CONAN. Tous éléments sur cette famille de Bazoches-en-Dunois (Beauce dunoise) et en anciennes généralités d'Orléans et environnantes.
77 - MILLET, RéMY. Tous éléments sur ces deux familles, la première de Olivet (Loiret), la seconde de Malakoff (Hauts-de-Seine).
Annie CHANDEMERLE N° 86
NDLR: Prière préciser davantage où vous en êtes, ce qui vous arrête et ce que vous désirez. Prière traiter un seul sujet par question.
78 - BALLONGUE. Tous éléments sur cette famille de Sologne et plus
particulièrement ceux de la région de la Ferté-Saint-Aubin (Loiret) et celle de La
Mothe-Beuvron (Loir-et-Cher).
79 - ARPENTIGNY (Pays de Caux). Informations sur Casimir Stanislas d'ARPENTIGNY,
°13.03.1781 à Yvetot (Seine-Maritime), Officier de l'Empire, garde du corps de Louis
XVIII, capitaine sous la monarchie de Juillet.
J.P.R. MATTRAT N° 25
NDLR: Voir les Archives de la Guerre, à VINCENNES.
80 - FROGER. Cherche + de Jules Félix F. ° Le Mans le 28.03.1826
°° Le Mans le 01.08.1873 avec Anaise LORIOT.
81 - PORCHé. Cherche + de Constant Aaron P. ° Arnage (72) le 01.04.1855 °° Requeil
(72) le 12.07.1876 Modeste MARTIN ° Château-l'Hermitage(72) 31.03.1856).
82 - HERSé (HERCé). Cherche + de Clément H. ° Ruillé en Champagne (72) 23.02.1851 -
°°(I) Parennes (72) le 7.02.1876 avec Louise LEFFRAY (° Parennes le 21.04.1855)
Y. 60UYETTE N° 57
83 - Mortalité en 1822-1823 : Je relève dans ma table d' ascendance quatre décès en 1822 et deux au début de 1823, dont trois de cujus qui avaient moins de 50 ans (un d'entre eux est décédé à l'hôpital). D'autres collègues ont-ils relevé à la même époque une mortalité excessive ? Celle-ci serait-elle due à une épidémie ? Ou à des conditions climatiques anormalement rigoureuses pendant l'hiver 1822-1823 ? Quelqu'un peut-il m'indiquer le titre d'un ouvrage qui traiterait de l'Histoire des Grandes Epidémies : peste, choléra, variole, avec chronologie. Idem en ce qui concerne les famines et disettes.
BEAUBESTRE N° 20
84 - JOUNIN/LACROIX. Date et lieu X Jeanne-Marie JOUNIN °Ca 1847 +
9.01.1929 St-Symphorien de Lay (42) avec Jean Baptiste LACROIX °Ca 1846 meunier +
01.01.1914 St-Symphorien de Lay (42).
85 - BRUN/MAGNET/MARCEL. Date + Louis BRUN °Ca 1734 Saint-Benoit (26) et de Dauphine
MAGNET °Ca 1789 Vesc (26), mariés par contrat chez Maître BROTIN,notaire à Dieulefit
le 26.01.1760, asc. de J. Jacques Antoine Clément BRUN °Ca 1758 + 14.10.1810 Saint
Benoit (26). Date et lieu ° + X Antoine BRUN avec Jeanne MARCEL vivant à Saint-Benoit
(26) en 1737, asc. de Louis BRUN.
86 - VACHERON/BESSY. Date et lieu / Pierre VACHERON avec Louise BESSY, asc. de Marie
Pierrette VACHERON ° 3.3.1784 Saint-Symphorien de Lay (42).
GIRAUD-BRUN N° 41
87 - MARCADé. Ascendances de :
- Pierre Guillaume M. °Ca 1761 Bourg Neuf la Forét, diocèse du Mans (72)
- Jean Jacques M. °15 vendémiaire an II Corseul (22)
- Jean M. °17.03.1827 Saugnac-et-Cambran (40)
A. GROFTIAUX N° 141
88 - HéNOU. Dates X et + de Mathurine Francoise H. °30.01.1793 Plaintel (22), fille de Mathurin H., charpentier et de Julienne BOULAIRE (BOULAINE ?) Ollivier; Mathurine Francoise était veuve IRSON avant 1821.
G. BODIOT N° 56
NDLR. Ollivier ? Deuxième patronyme ou localité ?
89 - GEVELO. Tous renseignements sur Jean G. (nom probablement francisé) °06.01.1898 Ekaterinoslav, aujourd'hui Dniepropetrovsk, Ukraine. Désirerais connaître les possibilités de recherches en URSS, dont Ukraine.
M. LOCQUENEUX N° 58
Erratum : Questions n° 51, 52 et 53 du Bulletin n° 4 : le n° d'adhérente de Mme Michèle BRUN-GIRAUD (classée à GIRAUD dans la liste) est le 41 et non le 146.
Question posée par C.G. de Savoie
Collectionneur en héraldique cherche à recenser les collectionneurs de tous supports
héraldiques (boutons de livrée, cachets, ex-libris, jetons, sceaux, argenterie, etc...)
afin de faciliter les échanges. Ecrire au C.G. de Savoie : 2, rue du Talabar, ANNECY LE
VIEUX, 74000 ANNECY. Pour les adhérents intéressés, les colonnes du Bulletin de C.G.
Savoie leurs sont ouvertes.
9. Réponses
34 - RAULT. Trouvé à Plaintel (22) un CHANDEMERLE, officier public à Plaintel, en charge depuis le 20.01.1793.
G. BODIOT N° 56
La présente rubrique est ouverte à la demande de collègues
désireux d'avoir l'exploitation de noms de métiers aujourd'hui disparus, ou également
d'institutions administratives, fiscales, ou religieuses de l'Ancien Régime.
Il sera répondu succinctement.... dans la mesure, bien entendu, de nos connaissances ou
de notre documentation, à toute question posée.
L'indication des sources étudiées permettra à l'auteur de la question d' approfondir
s'il le désire la réponse publiée.
Echevins : anciens officiers municipaux qui composaient avec le Maire les corps de ville, à l'instar de nos actuels Conseillers Municipaux. L'échevinage était principalement usité dans le nord de la France, Artois, Flandre, Hainaut. Les échevins, outre l'administration de la cité, exerçaient la justice. C'étaient des notables désignés par le seigneur local, ou par l'Intendant. Ils disposaient d'une certaine aisance.
Sergents : Dans les cités, les sergents étaient des officiers de justice chargés des arrestations, ajournements, significations, etc... Leurs fonctions tenaient à la foi de celles du sergent de ville et de l'huissier actuel.
Intendance : La plus importante circonscription administrative de l'Ancien Régime, tandis que la Généralité était une circonscription financière des pays d'élection. En fait toute distinction avait disparu en 1789 et les deux appellations étaient couramment employées l'une pour l'autre Il y avait 34 Intendances à la veille de la Révolution.
(D'après le "Dictionnaire des Institutions de la France au XVIIème et XVIIIème siècle" de Marion)
Jean BEAUBESTRE N° 20
11 - Bibliographie
Dictionnaire des institutions de la France aux XVIlème et XVIIIème siècles, par M. Marion, 564 p.
Etat Général des Fonds des Archives Nationales
. Tome I : l'Ancien Régime
. Tome II : 1789 - 1740
Chaque volume, bien relié, de 800 et 650 pages, vaut environ 100 Fr. Un très beau cadeau
pour la prochaine Fête des Pères (ou des Mères).
Le manuel de base de Norbert Nazelles et Nadine Vigier, "La Généalogie" a paru en Editions Marabout.
La rubrique Généalogie de Pierre Callerey dans "Le Monde" paraît une semaine sur deux dans le numéro daté du dimanche.
Deux publications pour débutants :
. "A la recherche de nos ancêtres", à l'usage des écoliers, édité par l'Education Nationale : M. Bury, Directeur du Centre National de Documentation Pédagogique, 30 à 40 Francs, avec un disque. En vente à la librairie du S.E.P.V.E.N. - 13, rue du Four, Paris VIème, tél. : (1) 634.54.80.
. "Manuel du débutant", par M. Jacques Vincent (Centre Généalogique de Saône-et-Loire), 17 avenue Félix-Faure, 69007 Lyon.
Le Centre Pompidou, à Paris, possède dans sa bibliothèque un rayon "Généalogie" très complet.
"La population française aux XVIIème et XVIIIème siècles", par Jacques Dupaquier, Collection "Que sais-je ?", n° 1786.
"Paroisses et communes de France, dictionnaires d'histoire
administrative et démographique"
L'Ecole Pratique des Hautes Etudes (6e section) et le Laboratoire de Démographie
historique publient un véritable fichier national, par département, donnant pour chaque
paroisse-commune du département sa superficie, des renseignements administratifs, des
données démographiques et les dates de conservation des registres de catholicité et
d'état civil. Ces ouvrages sont déposés parmi les "usuels" du département
des Imprimés de la Bibliothèque Nationale sous la cote : N 484. Sont en vente au
Laboratoire de Démographie Historique, 54 bd Raspail, 75006 Paris, les ouvrages
concernant les départements suivants :
AIN (120 fr.) | OISE (140 Fr.) |
ARDECHE (90 Fr.) | PAS-DE-CALAIS (150 Fr.) |
AUBE (125 Fr.) | BAS-RHIN (140 Fr.) |
AUDE (125 Fr.) | RHONE (98 Fr. ) |
MAINE et LOIRE (66 Fr.) | REGION PARISIENNE (120 Fr.) |
NIEVRE (110 Fr.) | SAVOIE |
Sont sous presse : DROME, LOZERE, HAUTE-VIENNE.
Sont achevés :
LOIRET | CHARENTE-MARITIME, |
CANTAL | DOUBS |
MARNE | SARTHE |
SOMME | ALPES-MARITIMES |
VAR | ALPES de HAUTE-PROVENCE |
AVEYRON |
Sont en cours :
AISNE | ALLIER |
BOUCHES du RHONE | CORSE |
COTES du NORD | EURE et LOIR |
HERAULT | JURA |
HAUT-RHIN | SEINE-MARITIME |
VIENNE |
Jacques AMEIL
Histoire et Généalogie
"La Généalogie", par Pierre Durye, collection "Que Sais-je ?" n° 917. 5ème édition, 1979 (12 F.). Nous accueillons avec le plus grand plaisir la réédition de ce guide, oui assurément le plus concis et le plus complet; le moins cher et le moins encombrant de tous les guides pour généalogistes débutants. Il donne, en particulier, la liste à jour de tous les Centres de Généalogie.
Histoire et Généalogie
"Chasseur d'ancêtres", par Jean-Louis Beaucarnot, qui tient la rubrique "Généalogie" dans l'émission "Le clé verte" du samedi matin sur France-Inter, Editions Mengès. Beaucoup de bonnes choses agréablement dites dans ce livre. La rubrique radiophonique de M. Beaucarnot traite, en particulier, de l'origine des noms de famille.
Paul Martin n° 1
12 - BIBLIOTHEQUE
Annuaire 1980 du Centre Généalogique de l'Ouest, contenant une liste de 12.000 familles de toutes régions de France, avec majorité dans l'Ouest - 264 pages.
Table générale
des questions et réponses parues dans '`Héraldique et Généalogie"
1968 - 1979, 92 pages, classement alphabétique des patronymes rencontrés
dans les questions et réponses du Bulletin pendant ses 10 premières
années.
Table de 4.000 patronymes de la Fédération. Supplément n° 6 d'Héraldique et Généalogie.
Bulletins reçus
en échange du nôtre, des Centres Généalogiques suivants
:
Nord Généalogie, ARGO, Franche-Comté, Ardennes, STEMMA (lle-de-France),
Essonne, Alsace, Picardie, Bourgogne, Ouest, Normandie, CE62A (Rhône-Alpes),
Midi-Provence, Sud-Ouest, Centre, Bourbonnais, Languedoc, Auvergne, Lorraine,
Marche et Limousin.
Nous rappelons à nos collègues que les bibliothèques PTT possèdent souvent des ouvrages de généalogie, en particulier les manuels de base indiqués dans notre Bulletin n° 1.
Annexe 2 au Bulletin
n° 5 - 4/1980
COMMUNIQUES DE LA FSFGHS
ET DE "HERALDIQUE ET GENEALOGIE"
RECHERCHES DANS LES ARCHIVES:
PARIS: Archives Nationales et Bibliothèque
Nationale: M. Jacky PLAULT,70 Gallerie Vivienne, 75002 PARIS.
SEINE et MARNE: M.J.N.CHAPRON,
B. P. 15, 77950. MAINCY, Me du C.G.O., propose recherches aux A D de Seine et
Marne contre recherches similaires aux A.D. MORBIILAN ou COTES du NORD.
DESSINS HERALDIQUES: (ex-libris,
arbres, tableaux, etc.... )
M.Lambert RElJERS ,13 rue du
Conservatoire ,75009 PARIS (Tél. : 523.25.68).
MICROFILM :
"ON PEUT APPORTER SON LECTEUR",
c'est le titre d'un entrefilet dans LE POINT N° 371, 29 octobre 1979 :
Français, le premier lecteur de microfiches et microfilms portatif. Pour
la formation permanente, les services publics et tous les types de documentation.
L'appareil fonctionne par projection sur n'importe quelle surface, dans n'importe
quelles conditions d'éclairage. Il utilise aussi bien des microfiches
avec passe-vues (la poussière est ôtée automatiquement) que
des microfilms, grâce à un système de microvues en rouleaux
enfermés dans une cassette . Le film, large de 105mm, contient 6.300 images
par cassette. ( pas d'adresse)
Cela peut aider les lecteurs, les jours d'affluence dans les archives, et ...
chez eux.
Trois centres se sont ralliés à l'appel du général de GUERRELASSE à propos de la prolifération des bulletins régionaux et de la dispersion des informations que cela entraine; H. et G., 1979, p 399) - Ies Centres Généalogiques de CHAMPAGNE, de SAVOIE et du SUD-OUEST. Le centre de SAVOIE nous adresse toutes ses questions qui sont, par souci d'efficacité et de simplicité de lecture, intégrées ici en ordre alphabétique avec les autres.
ENTR'AIDE :
Mr J.MAGNIN de SAUZEY, 12 rue Pasteur, 01100 OYONNAX, possède des renseignements sur les familles suivantes : MAGNIN (Chambéry, St Chamond) - CHAIX (Gap, Lyon) - GIRAUD (Chazelles s/Lyon) - BOUSQUET (de Bousquet-Verlhac, Provence, Lyon) -ROUSSET (échevin de Lyon) -IMBERT (Imbert-Colomés, Lyon) - du SAUZEY (Beaujolais, Berry, Roannais) - PAUTRIER (Barcelonnette, Lyon) - REAUCHAMP de JONZY (Saône et Loire) - GAY de CHASSENARD (Allier) - SAINT PIERRE (Reims (Marne), et Virieux le Grand (Ain)).
Communiqué n° 118
La Généalogie populaire
La Confédération des
associations de Généalogie populaire (4 place de l'Hôtel
de Ville, 34000 Montpellier) fait sa publicité dans "L'écritoire",
journal marxiste d'Aix en Provence, édité à Salon.
Le Secrétaire Général, Maître Michel PIERCHON, donne
ses quartier "de roture".
Un responsable, Jacques Paul ROCHE, cite dans un article de mars 1980 l'existence
de l'ARCO, à Brive, et de la Revue Française de Généalogie.
Nous sommes classés dans la catégorie des "clubs et cabinets
sans doute très fermés ou suspects"
Dont acte
J. AMEIL
Extrait de "Héraldique et Génealogie" - N° 3 - XIIe annee
VOEUX EMIS AU CONGRES DE LYON
SOURCES GENEALOGIQUES A L'ETRANCiER:
1 ) La commission souhaite que s'établissent des liens constants et une
solidarité entre la Fédération et ses homologues étrangers.
2) Elle souhaite également que soit établie et tenue à jour
une liste des sources à l'étranger : associations, organismes et
ouvrages susceptibles de faire avancer les recherches sur les familles étrangères.
(+++)
3) M.SCHAKOVSKOY demande que l'on signale "Histoire et Généalogie",
ouvrage paru à Moscou en 1977.
GENEALOGIE ET DEMOGRAPHIE HISTORIQUE
:
1 ) La commission souhaite le développement des échanges d'informations
entre généalogistes et historiens démographes, en particulier
dans le domaine des publications.
2 ) Elle souhaite que les méthodes de dépouillement et d'exploitation
de l'état civil utilisées par les généalogistes et
les historiens démographes soient normalisées, ainsi que le matériel
et les programmes d'informatique correspondants.
3 ) Elle recommande à tous les auteurs de généalogies de
remplir une fiche de famille pour chacun des couples rencontrés, ces fiches
devant comporter, dans toute la mesure du possible, les renseignements suivants
:
- Noms et prénoms des époux, de leurs père et mère,
de leurs enfants conjoints et de tous leurs enfants, mêmes décédés
en bas-âge, avec mention des enfants morts-nés.
- Lieux et dates des actes de baptême ou de naissance, mariage, décès
ou sépulture.
- Professions et résidences.
- Remariage éventuel du conjoint devenu veuf.
GENEALOGIE ET HISTOIRE SOCIALE:
La commission a constaté un parallélisme entre les curiosités
et les recherches des généalogistes d'une part, et des historiens
sociaux et démographes d'autre part, favorisé par l'exploitation
progressive des uns et des autres de documents tels que les registres paroissiaux
et les minutes notariales.
Elle constate aussi qu'un rapprochement est souhaité de part et d'autre
et qu'une collaboration de plus en plus étroite est souhaitée;
elle peut dès maintenant se réaliser par l'échange d'informations
sur les sources, les méthodes et les résultats entre individus
et aussi entre groupements généalogiques et centres universitaires
d'histoire.
Les historiens attendent des généalogistes des travaux complets
et scientifiques, des dépouillements normalisés, dont ils pourront
tirer des enseignements et des interprétations de synthèse ou de
comparaison, et les généalogistes attendent en retour des publications,
qui les instruisent sur l'environnement de leurs ancêtres et une histoire
plus personnalisée, ainsi que la disposition de leurs fichiers d'élaboration
et leurs instruments de travail.
CONCLUSIONS : Un certain parallélisme des recherches des généalogistes
et des historiens sociaux et démographes étant constaté,
la commission souhaite un accroissement des échanges entre eux; elle souhaite
que soient dressées des listes alphabétiques de noms patronymiques
des conjoints; que soit établi par les sociétés généalogiques
un catalogue (et une bibliographie) des professions et des charges rencontrées.
Elle souhaite que soient connues et utilisées les fiches de dépouillement
des actes notariés déjà établies.
Elle attire en outre l'attention des généalogistes et des sociétés
sur l'importance du colloque sur le "Refuge Huguenot" prévu
en 1985, sujet d'importance internationale, historique, économique et
sociale.
Le Centre de généalogie protestante constitue un fichier de départ
pour les pays du Refuge.
GENEALOGIE ET HEREDITE:
La commission souhaite que soit mise au point une fiche génétique
normalisée pour les généalogistes; cette fiche regroupera,
pour chaque individu vivant ou décédé, des données
relatives à des caractères héréditaires - ou à
paramètre héréditaire - qu'ils soient physiques, physiologiques
ou psychologiques.
Pour les individus décédés, certaines archives publiques
(registres de conscription du 19e siècle, formalités de résidence
à l'étranger du 18e siècle), ainsi que les archives de famille
(cartes d'identité et passeports, certificats médicaux, lettres,
photos, portraits) peuvent contenir des informations capitales à ce sujet.
De plus, même s'il était limité dans la plupart des cas aux
2 ou 3 dernières générations actuellement vivantes et donc
pouvant faire l'objet d'une analyse génétique poussée, ce
travail constituerait un acquit pour les générations futures. Un
projet de fiche génétique a été élaboré
par le Centre de Généalogie du Midi-Provence; il pourra être
communiqué pour examen, critiques et amendements à tous ceux qui
en feront la demande auprès de M.Georges REYNAUD, Laboratoire de Morphogenèse
expérimentale, Université de Provence, Centre Saint Charles, 13331
Marseille Cedex 3.
GENEALOGIE ET HERALDlQUE :
L'Héraldique fait encore l'objet dans le grand public de nombreux préjugés
et d'erreurs de jugement qui freinent sa connaissance; c'est d'autant plus dommage
que Généalogie et Héraldique sont le plus souvent indissociables
dans la mesure où l'une sert à éclairer l'autre.
Pour remédier à cette situation, le vu de la commission est
que la connaissance de l'héraldique soit mieux associée à
la Généalogie par une information objective et démystificatrice
de la réalité de l'Héraldique. Cela passe, entre autres,
par un enseignement de cette discipline au même titre que ce qui se fait
aujourd'hui pour la Généalogie (écoles, 3e âge, universités,
etc. . . )
La commission souhaite également que la Fédération soit
mieux informée des travaux de la Société Française
d'Héraldique et de Sigillographie, qui est la plus ancienne de ses sociétés
adhérentes. Il est vivement souhaitable qu'un courant d'informations régulières
s'établisse entre elles et qu'une meilleure interprétation se mette
en place, afin de mettre fin à la quasi-absence de relations qui prévaut
aujourd'hui.
GENEALOGIE ET INFORMATIQUE :
La commission souhaite, dans le cadre des travaux informatiques du Centre de
Généalogie du Midi-Provence, que les généalogistes
d'autres associations participent à la constitution d'annuaires informatiques.
Elle souhaite également que le matériel, dont est doté le
C.G.M.P. ,puisse être utilisé dans un avenir proche au mieux de
l'intérêt des généalogistes et des Associations.
VIE, ACTIVITES ET TRAVAUX DES ASSOCIATICNS
:
a ) Bulletins : En relevant les caractères répétitifs de
certaines rubriques publiées dans les bulletins régionaux, telles
que les analyses des revues généalogiques françaises; en
estimant, après discussion ,qu'il pouvait y avoir là, comme ailleurs,
matière à une revue nationale; en considérant en outre,
que c'est par des publications de ce genre que notre Fédération
pourra motiver tous les chercheurs, la commission émet le vux d'une
publication à l'échelon national de certaines rubriques bien spécifiques.
Leur publication à ce niveau allègerait les bulletins régionaux;
la meilleure présentation de cette publication est apparue comme un encart
central et de couleur dans la revue " Héraldique.et Généalogie";
cet encart, intitulé : " Supplément à la revue "Héraldique
et Généalogie" pourrait être tiré en quantités
supplémentaires et diffusé à prix modiques auprès
des associations.
b ) Questions et réponses : Considérant le caractère important
de cette rubrique, la commission souhaite que le Conseil d'Administration de
la Fédération puisse rappeler aux Associations que tout membre
de l'une d'entre elles est en droit d'utiliser toutes les rubriques "Questions
Réponses" des autres Associations
Ce principe, déjà éprouvé, semble irrégulièrement
suivi; en outre, pour simplifier la transmission et la consultation des réponses,
qui paraîtront dans un bulletin que l'adhérent questionneur ne reçoit
pas, la commission souhaite que le principe d'une réponse en 2 exemplaires
soit retenu, à charge pour l'Association, qui reçoit la réponse,
d'en transmettre un au demandeur.
c ) Répertoire National : la commission a noté le caractère
exemplaire d'une publication telle que le Répertoire National des familles
étudiées; souligne que c'est parde semblables réalisations
que notre Fédération témoigne de sa raison d'être,
I'ensemble des généalogistes français concourrant à
un même but dans un domaine complémentaire de celui des associations
régionales.
PROMOTION ET CONTACT AVEC LES MEDIA
:
a ) Il est demandé une meilleure information au niveau des médias
; presse écrite et presse parlée. Pourquoi ne serait-il pas créé
un poste d'attaché de presse au niveau de la Fédération
?
b ) Nous constatons que nous sommes aussi des media par nos bulletins et nos
revues. Nous souhaitons vivement I'unicité d'une revue nationale, diffusée
par les messageries de Presse, pour que la généalogie trouve sa
place à part entière dans la presse écrite.
GENEALOGIE, ICONOGRAPHIE, ILLUSTRATIONS
:
a ) L'intérêt des illustrations, portraits de famille, tableaux,
représentant des maisons de famille ... est incontestable pour deux raisons
:
- il est indispensable d'illustrer nos généalogies afin de les
rendre plus attrayantes et plus vivantes;
- il s'agit d'un décor appréciable dans les maisons.
b ) Encore faut-il les découvrir; ces objets sont très nombreux
dans les musées publics ou dans les collections stables (monuments historiques)
mais peu répertoriés;
c ) Le vu est émis que tous les Cercles Généalogiques,
à l'exemple de celui du Languedoc et celui du Loir et Cher établissent
la liste des portraits identifiés existant dans les musées (y compris
dans les réserves) et dans les collections privées stables de leur
circonscription; dans un deuxième temps, il pourrait être établi
un répertoire national.
Il est également souhaitable de répertorier les portraits non identifiés,
en notant scrupuleusement les signes distinctifs tels que les costumes, armes,
provenances, etc...
d ) Enfin, on insiste sur la nécessité de publier et d'illustrer
au maximum, et de déposer une copie aux Archives Départementales.
DIVERS :
a ) Le voeu est émis que les dépôts d'archives soient ouverts,
à l'exemple des musées, en soirée, ou le samedi, et fermés
uniformément dans toute la France, par exemple le mardi.
b ) Le vu est émis d'une extension des possibilités de photocopie
des actes consultables; il est souhaité un prix uniforme de 1F. par page
photocopiée.
Annexe 3 au Bulletin
n° 5 - 1980/4
Réunion régionale
du groupe Bretagne du 17 juin 1980
Nous sommes maintenant une trentaine
d'adhérents au CGPTT, dont une bonne moitié à Rennes ou
aux alentours immédiats.
Souvent, nous ne nous connaissons pas les uns les autres. Aussi a-t-on jugé
bon de se réunir une première fois pour une prise de contacts.
Quelques adhérents éloignés de RENNES se sont excusés
et ont fait part de leurs regrets de ne pouvoir participer à cette réunion.
Bien que nous n'étions que 12 présents, dont un seul en résidence
hors Ille-et-Vilaine, chaque participant était satisfait de cette réunion
amicale.
Chacun, du novice au chevronné (tel le collègue M. PINSON, adhérent
n° 9 et président du Cercle généalogique rennais affilié
au centre généalogique de l'Ouest) y a trouvé de l'intérêt
à tel point que la réunion commencée à 20 heures
se prolongea jusqu'à 23h 30 sans qu'aucune défaillance ne se manifesta.
Après un tour de table, ou chacun se présenta et exposa rapidement
le point de ses recherches et les difficultés rencontrées, un rappel
de l'organisation et du but du cercle des P.T.T. fut exposé.
Pour les débutants, quelques conseils furent donnés (ouvrages traitant
de la question, tableaux résumant les recherches, numérotation
Stradonitz ...). L'attention a été particulièrement appelée
sur la nécessité de se procurer un des ouvrages signalés.
Il a été fait appel aux "inspirations" pour trouver une
dénomination et un sigle au bulletin.
Il a été signalé que chacun pouvait assister aux réunions
mensuelles du groupe Ile-de-France, où il serait le bienvenu, s'il avait
l'occasion de se trouver à PARIS aux dates indiquées.
Outre diverses autres questions abordées par les participants, un questionnaire
fut commenté et remis à chacun.
Des réponses à ce questionnaire, qui va être adressé
à tous les adhérents du groupe Bretagne, dépendra l'organisation
des réunions ultérieures, la prochaine réunion étant
envisagée en septembre, après les vacances, en un jour et lieu
qui sera précisé ultérieurement.
Annexe 3 bis au Bulletin
n° 5 - 1980/4
- QUESTIONNAIRE -
1 - Préférez-vous
des réunions :
mensuelles - bimestrielles - trimestrielles
2 - Quels jours de la semaine vous conviendraient le mieux ?
Jours où cela vous serait pratiquement impossible.
3 - A quelle heure ?
Heures où cela vous serait impossible.
4 - Quel est le lieu qui vous semble préférable ?
5 - Participeriez-vous éventuellement à un repas (simple) avant
au après (ou pendant) la réunion ?
oui - non
6 - Quel genre d'activité vous semble préférable au cours
de ces réunions ?
(A classer, si possible, par ordre de préférence) :
6-1 - Tour de table avec résultat et difficultés rencontrées
6-2 - Cours sommaire de généalogie
6-3 - Exposé de l'un de nous sur :
. le résultat de ses recherche
. une généalogie étudiée
. un sujet d'ordre général touchant la généalogie
6-4 - Exposé d'une tierce personne sur un sujet de généalogie
où s'y rapportant
(Directeur d'archives, membre d'un autre centre de généalogie,
professeur ...)
6-5 - Visite commentée de châteaux ou monuments historiques présentant
un attrait généalogique
6-6 - Variété dans ces diverses suggestions
7 - Eventuellement :
- Pouvez-vous faire un des exposés ci-dessus ?
oui - non
- Connaissez-vous quelqu'un qui le ferait volontier ?
oui - non
- Connaissez-vous des lieux de visites intéressantes ?
oui - non
8 - Suggestions diverses (inscrire au verso)
NOM :
N° d'inscription au cercle (facultatif) :
Adresse :
A , le
Signature :
Annexe 4 au Bulletin
n° 5 -1980/4
Groupe "Ile-de-France"
Le Groupe "Ile-de-France"
a continué au cours du dernier trimestre de tenir ses réunions
mensuelles de travail au central téléphonique Raspail, rue Campagne
Première.
Celles-ci se sont déroulées les 8 avril, 13 mai, 10 juin.
Le taux élevé de participation enregistré lors des précédentes
réunions se maintient en dépit de l'horaire qui coïncide malheureusement
avec les heures de service de nombreux collègues.
Lors de la réunion du 10 juin, le nombre des participants a été
sensiblement plus élevé en raison de la présence, autour
du noyau des confrères assidus, de nombreux débutants venus rechercher
des conseils pratiques pour commencer leurs travaux.
Il a été recommandé à tous de lire, et au besoin
d'acquérir, les ouvrages de base traitant de Généalogie,
qui ont été mentionnés dans notre Bulletin n° 1 de septembre
1979.
Peut-être conviendra-t-il d'organiser à l'usage des débutants,
quelques séances d'initiation à la recherche pratique ? La question
est à l'étude, nous en reparlerons après les vacances.
Au cours de chacune des réunions, le tour d'horizon habituel a eu lieu,
où chacun a fait le point de ses recherches et des difficultés
rencontrées :
. Notre confrère Mérey a une partie de son ascendance en Pologne
et en Allemagne : quelques adresses lui ont été fournies par notre
Trésorier,
. Madame Bourdarie rencontre des difficultés pour obtenir un certificat
de nationalité qui lui est demandé par le Service des Archives
du Ministère des Affaires Etrangères à Nantes : une documentation
lui a été transmise.
. Les adresses de Cercles ou Centres Régionaux ont été communiquées
aux collègues intéressés.
En fait, les problèmes les plus courants sont les mêmes pour la
plupart d'entre-nous : l'éloignement de notre isolat ancestral et le manque
de temps et souvent de ressources pour nous rendre sur place. Ceux-ci ne pourront
être résolus à la satisfaction de tous que lorsque nous serons
parvenus à nous implanter suffisamment dans tous les départements,
et que nous aurons réussi à organiser une entraide pleinement efficace.
A ce sujet, Madame Michon nous a fait part du concours inappréciable et
bénévole que lui a apporté notre collègue Herbreteau
de Nantes. Qu'il en soit ici remercié, ainsi que Madame Bourdarie pour
les dates de décès qu'elle m'a si aimablement trouvées aux
Archives d'Arras
Nous lançons un appel
à tous nos adhérents qui ont l'occasion de se rendre dans un dépôt
d'Archives de province, afin qu'ils veuillent bien dans la mesure de leurs possibilités,
imiter ces exemples, s'il leur reste un peu de temps à l'issue de leurs
recherches personnelles.
La Généalogie ne doit plus être l'uvre individuelle
de chercheurs compétents, mais peu efficaces parce qu'isolés, mais
une oeuvre collective.
Je me propose de revenir plus longuement sur ce problème de l'entraide
dans un prochain numéro.
L'Animateur Régional
BEAUBESTRE