Le premier trimestre, pour notre Cercle, est traditionnellement celui du bilan. En effet, l'Assemblée générale (dont vous trouverez par ailleurs le compte rendu) permet de faire le point des activités passées ou en cours, et d'évoquer nos projets.

La première constatation qui s'impose à tous c'est la vitalité et la cohésion de notre association, concrétisée par son implantation dans les différentes régions de France, et le nombre d'adhérents qui va croissant puisque nous avons fêté la 1.000eme adhésion. Naturellement, nous devons poursuivre cette croissance mais pas à tout prix : mieux vaut la qualité que la quantité : c'est un gage de saine évolution.

La seconde constatation, c'est la collaboration efficace de la plupart de nos membres, dans leurs départements respectifs, avec les associations généalogiques locales ou régionales, voire parfois avec les services d'archives, et nous ne pouvons que nous en féliciter. Cette collaboration doit être poursuivie et étendue, notamment par la participation aux opérations de dépouillement systématique de communes, d'établissement de tables, de répertoires, etc...

Etre généalogiste, en effet, c'est participer à l'effort de conservation des archives et du patrimoine. Nous venons en aide, indirectement, aux nouveaux chercheurs et nous sauvegardons les actes.

Bon courage, donc ! Et à bientôt.

M. Gaston SAGOT

COMPTE RENDU DE L'ASSEMBLEE GENERALE

Le samedi 4 février 1984 s'est tenue la cinquième Assemblee Générale du Cercle Généalogique des PTT.

A 9 H 30, Monsieur Gaston SAGOT ouvre l'Assemblée en souhaitant la bienvenue aux personnes présentes (une soixantaine de membres du Cercle). On pouvait remarquer la présence de nombreux collègues de province qui avaient tenu à participer aux travaux de l'A.G. On notait également la présence de M. Jean-Louis BEAUCARNOT, rédacteur en chef de la revue Gé-Magazine, venu faire un reportage sur l'Assemblée Générale. En cours de séance, M. Gilles HENRY, auteur de nombreux livres et M. Jacques AMEIL, Président de la Fédération, nous ferons l'honneur de leur présence.

Après la présentation des membres du bureau, la 1.000eme adhérente, Mme Lucette VERGE de Narbonne, a reçu des mains de M. SAGOT un cadeau de la part du Cercle, et Ge-Magazine lui
en a offert un autre.

Rapport moral et rapport financier

M. LOCQUENEUX, secrétaire, a fait le rapport moral et M. LECOMTE, trésorier, a fait le rapport financier qui est suivi du rapport de M. DAYRE, commissaire aux comptes. Le rapport moral et le rapport financier sont adoptés à l'unanimité.

Délégations régionales, départementales et locales

Mesdames POTTIER (Châteauroux), BLAISE (Nancy), BABLOT (Bordeaux), VIBET (Poitiers), Mademoiselle MAUGER (Paris), Messieurs BEAUBESTRE (Toulouse), DESLANDES (Rennes), MERCAT (Lannion), CAGNASSO (Clermont-Ferrand), GUEDES (Saint-Lô), LEMERLE (Nimes), PISTORESI (Narbonne), ALEGRE DE LA SOUJEOLE (Montpellier), GALLIOT (Orléans) étaient présents.

Chaque délégué fit le point sur les différents contacts et les réunions qui sont organisés dans chaque région. Quelques délégués donnent des cours FAC dans le cadre de l'amélioration des connaissances.

Election des nouveaux membres au Conseil d'Administration

Sont élus pour deux ans :
Mlle MAUGER et MM. DESLANDES, GERARD, REAUX et SUFFIT.

Questions diverses

Un local de 10 m2 vient d'être attribué au CGPTT au 3éme sous-sol du Centre Raspail à Paris. Le micro-ordinateur pourra être installé dans cette pièce.
Une assurance vient d'être souscrite pour permettre l'accès des membres de notre Association dans les locaux de l'Administration afin de participer aux réunions.
Il est rappelé que le système d'entraide fonctionne uniquement grâce au volontariat des adhérents et qu'il s'agit d'un total bénévolat.

La cotisation est portée pour 1985 à 50 F.

Intervention de M. Gilles HENRI et intervention de M. Jacques AMEIL

M. Gilles HENRY a tracé les rapports qu'il a découvert entre la généalogie et la littérature dans les ouvrages qu'il a écrit concernant Simenon et le commissaire Maigret, Monte-Cristo et Alexandre Dumas, Flaubert, Arthur Rimbaud. Il a recherché comment ces écrivains ont pu utiliser consciemment ou inconsciemment leur propre généalogie en créant leurs personnages. En février, M. Gilles HENRY a publié son dernier livre : Cartouche.

M. AMEIL a fait le point sur les différents annuaires (CGO, Languedoc, Fédération, Midi-Provence) qui ont été publiés par les associations généalogiques.

INFORMATIONS GENERALES

Quelques rappels élémentaires ...

- Solliciter les services d'un collègue de manière ponctuelle pour débloquer une situation et non pas lui demander d'établir toute une descendance, ou de découvrir l'ancêtre né dans le département x aux alentours des années y.

- Ne solliciter qu'un collègue à la fois pour la même recherche même si plusieurs ont offert leur collaboration.

- Dédommager des frais de correspondance et de photocopie éventuelle, le temps de recherche étant, lui, bénévole.

- Signaler au service d'entraide les adhérents qui ne répondent pas ou qui indiquent être dorénavant dans l'impossibilité d'offrir leurs services, pour mise à jour du fichier.

N'oubliez pas. Merci

M. Gaston SAGOT

RECHERCHES EN BELGIQUE

A partir de cette année, le Cercle généalogique des PTT met en place un correspondant dont le rôle essentiel sera de recueillir les informations des 3 principales revues des cercles généalogiques belges et de leur transmettre nos demandes de renseignements. Bien entendu, nous diffuserons les demandes pouvant provenir des adhérents de ces cercles. Dans notre bulletin nous ferons paraître un résumé des principales informations contenues dans les revues reçues de Belgique.

Notre correspondant sera : M. Jean-Louis MONOT (n° 817).

Il va établir, avec notre secrétariat, une notice explicative pour les recherches en Belgique, regroupant les principales adresses utiles permettant les recherches pour "débuter" et poursuivre plus loin.

Au préalable, M. MONOT souhaiterait recevoir de la part des adhérents du CGPTT ayant des ascendants en Belgique leur liste de patronymes comportant :
- les noms par ordre alphabétique (en lettres capitales, SVP)
- les dates extrêmes concernées
- les noms de lieux et noms de provinces concernés

Avec ces renseignements, une brochure sera éditée et envoyée aux seuls membres de notre Cercle concernés.

Envoyez donc sans tarder vos renseignements sur la Belgique à M. MONOT et espérons que cette année le travail sera encore plus productif !

ALSACIENS ET LORRAINS A LA REUNION

Vers 1750 à 1780, on note l'arrivée d'Alsaciens et de Lorrains à la Réunion. Les patronymes trouvés sont les suivants : DOUYERE, VETTER, MERLO, MALHERBE, FELLER, FRANCOME.

M. ZELLER n° 4

TABLE RONDE AUX ARCHIVES NATIONALES

Le samedi 11 février 1984, de 15 H à 17 H, s'est tenue aux A.N., à l'invitation de M. FAVIER, Directeur Général des Archives de France, une table ronde regroupant environ 40 généalogistes et archivistes. Les généalogistes étaient principalement représentés par le Conseil d'Administration de la Fédération.

Cette table ronde était informelle, ayant pour objet de faire un tour de table des sujets communs à envisager, de manière à faire le point sur un suivi éventuel.

Les principaux sujets suivants ont été abordés :

- Accueil des chercheurs : en cours d'amélioration en ce qui concerne les locaux et le nombre de places

- Formation des débutants : elle doit être mise en oeuvre par les Cercles pour faciliter les recherches et améliorer les rapports entre les nouveaux généalogistes et les services d'archives.

- Aide au dépouillement : problème du microfilmage (coût de l'investissement en matériel et des charges de personnel).
Une liste des départements microfilmés par les Mormons ou les Archives sera remise pour publication dans "Héraldique et Généalogie".
Le microfilmage des Mormons est interrompu, sauf opérations en cours, pour cause de différend avec la Commission Informatique et Liberté.

- Déontologie des rapports Archives/Généalogistes et vice-versa : pas de code à établir mais de la compréhension et de la psychologie de part et d'autre.

- Versement des Archives Notariales. Le problème a peu évolué. C'est la chancellerie qui a la tutelle du notariat. Une campagne de sensibilisation sera lancée par la Fédération dans le courant du 1er semestre 1984.

- Communication de documents avec déplacement : la mesure sur les franchises ayant été aménagée, les microfilms circulent de nouveau, à condition que le dépôt d'archives en possède deux exemplaires.

- Photographie des actes : en principe pas de monopole des archives pour prise de photographie sans flash. Toutefois, un Directeur peut refuser l'autorisation pour la sauvegarde de certains documents en trop mauvais état.

M. Gaston SAGOT

ETAT DES FONDS AUX A.D. DU GARD

Cet état vous permettra de patienter en attendant la parution prochaine du "Guide des Archives du Gard" qui est actuellement en préparation.

Séries anciennes :

A : Actes du pouvoir souverain

B : Juridictions civiles et criminelles, baillages, présidiaux, sénéchaussées.
     On y trouvera 3 sortes de registres pouvant nous intéresser :
     1) de 1572 à 1704 : Insinuation de donations et contrats de mariage portant donation par devant le sénéchal de Nîmes
     2) de 1710 à 1790 : Insinuation de testaments, testaments portant substitution, donations par contrats de mariage, contrats de douaire et autres
     3) de 1731 à 1791 : Insinuation des donations entre vifs, etc

C : Intendance du Languedoc et subdélégations, Administrations provinciales - Elections et autres divisions administratives - Bureaux des finances - Etats provinciaux, principautés, régences... et surtout Etats de capitation

C Sup : Idem à ci-dessus mais concerne en particulier le diocèse civil d'Alais et Nîmes

II C : Registre des formalités. On y trouve :
         Contrôle des exploits,
         Contrôle des actes,
         Contrôle des actes sous seing privé,
         Table des baux, des contrats de mariage, des acquéreurs et vendeurs, testaments, décès, successions, partages et co-partageants, etc…

D : Enseignement, Instruction publique, Sciences, arts, universités, facultés, sociétés académiques

E : Archives de familles, notaires, de seigneuries, registres paroissiaux, Etat civil, Inventaires :

Série E tome 1 : 447 articles du XIIIe siècle à 1789 (I à 447) traite entre autre de : Seigneuries d'Aramon, BarJac, Calvisson, Carsan, Caveirac, Fons et GaJan, Hierle, Ledenon, Lecques, Liouc, Montdardier, Montfrin, Montpezat, Porte, St-Sebastien d'Aigrefeuille, Tornac, Uzes. Familles diverses de Nîmes, Notaires et notariats d'Ales, Anduze, Aramon, Bagnols, Bernis, Bezouce, Calvisson, Chalraze, Chamborigaud, Clarensac, Colias, Combas, Cornillon.

Série E tome 2 : 2.218 articles (478 à 695) Notaires (suite) : Foussignargues, Genolhac et Villefort de la jurade, commune de Rogues, Ledenon, Montdardier et St-Laurent le Minier, Montfrin, Navacelle et Brouzet. On y trouve entre autre la coutume de Domazan, Nîmes.

Série E tome 3 : 258 articles (696 à 953) Notaires (suite) : Notaires de Nîmes (suite et fin). Ponteil, Remoulins, St-Cecile d'Andorge (Champclos), St Génies de Malgoires et Sauzet, St Gilles

Série E tome 4 : 267 articles (954 à 1220) Notaires (suite et fin) : Anduze, Ribaute et St Jean du Gard, Calvisson, Nîmes, St-Laurent des arbres, St-Martial, St-Victor la Coste, Sauve, Saze, Sernhac, Sommières, Uchaud, Uzes et Vallorix, Valence, Vauvert, Vezenobres, Le Vigan.

Série E tome 5 : 301 articles (1221 à 1522) Addition aux Seigneurie et familles. Seigneuries d'Aigremont, d'Alais, Bagnol, Brésis, Fond de Cabrières, seigneurie d'Eguilles, Beauvoisin, Montferrier, Vauvert, seigneurie de Cabrières. Addition aux familles.
Consulter la table générale des articles I à 370 et 1221 à 1522

Série 1E
En fait, le tome 6 de la série E. Inventaire sommaire 3656 articles. Seigneuries diverses et nombreuses, Chartrier de Cambris et d'Ales, Fonds d'Aguze la Valette, de Rochemaure, Chartrier de Cassagnoles, Fonds de Paradis Colomb, de Plantin de Ville perdrix, de Trémolet, Chartrier d'Urre, de Blaudas, Alzon, Fonds de Froment, de Castille, etc...
Possède un index alphabétique des noms cités (personnes et lieux).

Série II E - Minutes notariales
81 Etudes antérieures et postérieures à la Révolution avec index des études, lieux d'exercices, résidences et listes des minutes incorporées dans d'autres fonds
Exemple : série IE hôpital d'Ales A la bibliotheque nationale, aux Archiyes nationales
Référence à partir : II E suivi du n° de l'étude et article (inventaire)

Série II E supplémentaire
Minutes notariales, Supplément des versements après IIE. Antérieure et postérieure Révolution

Série IV E
Corporations d'arts et métiers (antérieur à 1790), Corps des métiers divers

Série V E1
Registres paroissiaux fin du XVIe à 1790

Série V E2
Registre d'état civil de 1790 à 20e siècles et tables décennales

Serie supplémentaire
Inventaire de 1136 articles :
Concernant Aigues-Mortes, Aimargues, Aigues-Vives, Aramon.
Comporte un index alphabétique des personnes, lieux et métiers.
A consulter dans cette série, les inventaire d'archives communales.
Répertoire numérique des archives communales anciennes et modernes
St-Jean du Gard, Beaucaire, Anduze.
Répertoire plus index alphabétique.
Pont St-Esprit (index alphabêtique).
Roquemaure, St Hippolyte du Fort, Alés.
Répertoire d'archives communales moderne de 1790 à 1847 environ

Série G

Tome I : clergé séculier (dispenses de parenté dans officialité)

Tome 2 : clergé régulier

Série H
Archives ecclésiastiques, clerge régulier, abbayes, hôpitaux...

Série J
Pièces isolées et petits fonds comportant de nombreux dossiers de familles et des généalogies divisées en sous-séries :

1 J : dossiers et notices généalogiques sur les familles :
1 J 85 GUEYDAN (Montaren)
1 J 173 BRUNEL
1 J 248 DE LAUDUN
1 J 270 GUEYDAN
1 J 277 CAPPON
1 J 407 SAURY (1714-1717)
1 J 500 DE LéVIS
1 J 533 ANDRé
1 J 724 VIDAL (Sernhac)
1 J 769 PIN
2 J : chartrier de Saint-Privat
2 J 46 : généalogies de FARET (Fournes)
3 J : chartrier de Cabiron, Tableau des familles CABIRON et BARRAL d'ARéNES (3J 46 et 3J 47)
4 J : Papiers du Général NAYRAL DE BOURGAN
7 J : Fonds PALISSE de Mérignargues (Montfrin)
8 J : Papiers LOMBERD-DUMAS
9 J : Fonds GLEYSE DE LA BLANQUE (St Pons de Thomières), Notes généalogiques sur les familles GLEIZE DE LA BLANQUE et MIRMAN
10 J : Fonds des COMBLéS
11 J : Chartrier de TAGNAC (Chamborigaud)
12 J : Chartrier de la ROQUE (Bagnol/Ceze), Titres de familles et généalogies
13 J : Fonds de St-Quentin la Poterie
14 J : Fonds de la Croix de Vagnas (BarJac), Familles : MONTEILS, PICQUET, GUEYDAN, etc…
15 J : Fonds du Colonel MILON concernant les seigneuries de VEYRAC (paroisse de St-Etienne d'Anduze)
16 J : Fonds de COURTOIS (Fourques et Beaucaire), Notes généalogiques sur FABRE, FOUGéRE, DEYéZE, etc…
17 J : Fonds de SAZE
18 J : Fonds de la Compagnie des Mines de la Grand-Combe
18 J 210 à 300 : dossiers individuels du personnel des Mines
19 J : Fonds Thomas de SAINT-LAURENT, Notes génealogiques sur CAPPON, DE THOMAS, GUEYDAN (Uzes 1686-1807)
20 J : Fonds Maximin d'HOMBRES, Familles BOISSIER, DE PLANTIER, etc…, Généalogies de CABANIS, etc…
20 J 19 C.M. de Laurent SAURY, Cloutier de Notre-Dame de Laval et Catherine ARBOUSET (28.05.1664)
21 J : Fonds BACHELAT
21 J 9 : Généalogie de CHZYLAS...
22 J : Fonds de ROBIAC
24 J : Fonds Emmanuel GAY (Le Vigan)
24 J 12 : notes généalogiques
24 J 17 : notes diverses sur les familles du VIGAN, classées A à Z
30 J : Fonds du Consistoire de Nimes
31 J : Archives de la famille TARTERON
32 j : Archives de Radio-Nîmes
33 J : Fonds Jacques NOUGUIER (Avoué)
34 J : Fonds Theophile BOISSET
35 J : Travaux universitaires
36 J : Fonds CASTANIER (Génolhac)
37 J : Fonds SAURY
38 J : FONDS SOLIGNAC (société de confection)
39 J : Fonds de BALINCOURT Comporte en fin de registre une table alphabétique (personnes et lieux)
44 J : Ecole antique
45 J : Fonds TESSIER DU CROS
46 J : Fonds du S.T.E.D.E.F.
47 J : Fonds de la société française des asphaltes
48 J : Archives de la Chambre de commerce de-Nîmes, Uzès, Le Vigan
49 J : Fonds de CHARNISAY
50 J : Fonds de Denis JOLY
51 J : Fonds Charles SAGNIER
52 J : Fonds Foulo FLOUTIER, négociant
53 J : Fonds Charles MOURIER (index alphabétique personnes et lieux)

La série 51 J comporte une table alphabétique des noms cités. Nombreux dossiers généalogiques sur les familles protestantes de Nîmes et les prisonniers de la Tour de Constance (Aigues-Mortes) 51 J 53 à 326.
Familles BERARD (XVIe et XVIIe), CAPPON, ALLEGRE, etc…
Série L : Administrations et tribunaux de l'époque révolutionnaire 1789-An VIII

Série M : Administration générale du département :
1M : administration générale
2M : personnel administratif, Maison centrale, Police, Préfecture (dossiers individuels), Mairies
3M : Elections
4M
5M : Hygiéne et santé
6M : Recensement (listes nominatives)
8M : Commerce, Tourisme, Expositions
9M : Industrie

Série N : Administration et comptabilité départementales

Série O : Administration et comptabilité communales, Personnel des mairies et écoles

Série P : Cadastre - Etat des sections

Série Q
II Q : Registre des formalités (1693-1825)
40 à 43 Q : Conservation des hypotheques (An VII-1925) classés par bureaux :
40 Q : Alés
41 Q : Nîmes
42 Q : Uzes
43 Q : Vigan

Série R : Recrutement de l'armée

Série S : Travaux publics, transports, énergie

Série T : Enseignement, affaires culturelles, sports

Série U : Tribunaux - Procès
10 U : Tribunal de commerce (dossiers de faillites - liste alphabétique 1787-1933)

Série Mi : Microfilms

OUVRAGES GENEALOGIQUES A LA BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Adresse : Bibliotheque SEGUIER
19 Grand'Rue
NIMES
(66) 67.25.59
Heures d'ouverture : Mardi au vendredi de 10 H à 12 H et de 15 H à 19 H
Samedi de 10 H à 12 H et de 14 H à 18 H

ARMORIAL GENEALOGIQUE FRANCAIS

ARMORIAL DES PROVINCES

PROVENCE

GENEALOGIE DES FAMILLES PARTICULIERES

HERALDIQUE - DIVERS

BIBLIOGRAPHIE

La consultation des fichiers par sujet révèle parfois l'existence de nombreuses monographies villageoises qu'il faut consulter. Il faut aussi consulter les MEMOIRES DE L'ACADEMIE DE NIMES.

Adresse des Archives départementales du GARD
20, rue des Chassaintes
30040 Nîmes Cedex
(66) 67.23.95
Ouvert au public : lundi au vendredi de 8 H 30 à 12 H et de 14 H à 18 H
Pas de fermeture annuelle

LES DEGRES DE PARENTE OU LA MAISON DE FAMILLE

Yves AUFFRET nous propose une méthode simple pour calculer les degrés de parenté entre deux personnes d'une même famille, mais attention, il s'agit des degrés de parenté du droit civil c'est-à-dire ceux qui sont définis par les articles 735 à 738 du Code Civil. Lorsque l'on trouve dans les registres paroissiaux des références à des degrés de parenté ceux-ci sont calculés suivant le droit canon. (voir bulletin CGPTT n° 11 - page 85)

Il nous arrive de chercher à calculer le degré auquel nous sommes parents avec d'autres membres de notre famille. Et très vite nous sommes perdus. Nous ne savons pas saisir le fil conducteur du raisonnement qui nous permettrait de déterminer ce degré avec rapidité et sûreté.

C'est pourtant simple. Nous proposons pour le calcul des degrés de parenté le procédé mnémotechnique de la Maison de Famille.

En matière de construction classique il n'y a pas moyen de faire autrement que de monter des fondations au toit. En matière de généalogie c'est l'inverse. Les débuts sont en haut, du côté des ancêtres et les tranches les plus récentes sont en bas du côté des derniers nés. Pour calculer les degrés de parenté sur une même génération ou entre plusieurs générations c'est toujours par l'ancêtre commun, ou le faîte de la maison, qu'il faut passer.

Commençons donc notre construction par le haut. Le cas de figure le plus simple c'est celui du père ou de la mère et de leurs enfants.

Entre les enfants B et C et le père ou la mère A il n'y a qu'un degré. Entre frères ou frères et sœurs c'est déjà plus élaboré : ils sont parents au 2ème degré.
1 (BA) + 1 (AC) = 2

Ajoutons maintenant une génération ou un étage.

A, le père de B et C devient également le grand-père ou l'aïeul de D et E, ses petits-enfants qui sont aussi cousins entre eux. Si l'on prend la diagonale, E est le neveu ou la nièce de B, et de même D est le neveu ou la nièce de C.

Le degré de parenté entre le grand-père et l'un des petits-enfants est le 2ème :
1 (EC) + 1 (CA) = 2 ou 1 (DB) + 1 (BA) = 2. -

Quelle est la parenté entre le neveu et l'oncle ou tante ? Il faut toujours opérer le calcul en remontant à l'auteur commun. Dans le cas présent : au grand-père A, soit :
1 (EC) + 1 (CA) + 1 (AB) = 3ème degré.

Entre les deux cousins, la parenté est évidemment au 4ème degré :
1 (EC) + 1 (CA) + 1 (AB)+ 1 (BD) = 4.

Ajoutons encore une génération : la troisième (les chiffres indiquent le degré de parenté comme ils l'indiquent sur tous les schémas illustrant cet exposé).

A devient arrière grand-père ou mieux bisaïeul. F et G sont ses arrière-petits-enfants. Cette fois nous avons bien saisi qu'il fallait remonter à l'aïeul commun et en redescendre pour calculer les degrés de parenté. Nous n'avons plus de difficultés à comprendre qu'entre G et A la parenté est au 3éme degré, qu'entre G et F : cousins issus de germainla parenté est au 6éme degré, qu'entre G et D la parenté est au 5ème degré.

B et C sont des collatéraux comme-à d'autres degrés D et E ou F et G.

Nous pourrions descendre encore une génération et transformer A en arrière-arrière-grand-père, c'est-à-dire en trisaïeul. Mais nous laissons au lecteur découvrir seul les 7éme et 8éme degrés.

Faisons une petite récapitulation pour finir. Sont parents :

au 1er degré : père ou mère et enfants
au 2ème degré : frères et sœurs - grands-parents et petits-enfants
au 3ème degré : oncles ou tantes et neveux ou nièces - arrières grands-parents et arrières petits-enfants
au 4ème degré : cousins germains - grands-oncles ou grands-tantes et petits-neveux ,ou nièces
au 5ème degré et aux suivants ....

Le lecteur peut continuer à l'infini.

M. Yves AUFFRET n° 412

UN MOYEN COMME UN AUTRE POUR NE PAS PARTIR SOLDAT EN 1796

Lors des dernières recherches généalogiques, cet été en Vallée d'Aspe, il m'a été donné de découvrir un moyen peu ou mal connu pour échapper à l'appel sous les drapeaux.

Tout comme la réquisition décidée en février 1793, la levée en masse décrétée six mois plus tard fut un demi échec. Faute de volontaires, les jeunes de 18 à 25 ans, célibataires ou veufs sans enfant, refusent de nommer ceux d'entre eux qui doivent partir. On va jusqu'à acheter des remplaçants qui se vendent comme du bétail et "font métier de déserter pour se vendre 5 ou 6 fois dans divers bataillons ainsi que Carnot s'en plaint.

La loi Jourdan du 05/09/1798 institua la conscription (c'est-a-dire l'inscription avec les autres). Elle porta le service à 5 ans à compter de 20 ans révolus. Elle supprimait le remplacement et n'exemptait que les hommes mariés mais avant une date rétroactive du 10 janvier 1798. Comme l'hostilité fut quasi générale, on vit fleurir faux actes de naissance, faux passeports et même mariages de complaisance sans parler de désertion vers l'Espagne toute proche.

Or à Bedons (64490) on trouve dans les registres des mariages de jeunes avec des veuves beaucoup plus âgées. Sur trois mariages, l'un présente un écart d'âge de 40 ans dés l'an III. L'année suivante, sur 16 mariages, 7 sont avec écart d'âge de 37, 21, 48, 22, 42 et 36 ans. Chose bizarre, en l'an V tous les douze mariages présentent des âges en rapport. Aucune différence non plus dans les registres des communes avoisinantes de la dite vallée d'après les sondages faits à Oloron, Osse, Urdes et Accous. On note toutefois dans cette dernière commune :
An III   16 mariages : âges en rapport
An IV  18 mariages : dont 6 en rapport mais pour les autres l'âge des époux n'est pas précisé
An V   35 mariages : dont également 14 sans date

On ne peut rien déduire du fait que certains actes ne portent pas les âges ou les dates de naissance. Si le secrétaire était peut-être négligeant, il pouvait aussi être complice. Je n'ai malheureusement pas disposé du temps voulu pour rechercher les actes de naissance de chacun des époux.

Comment peut-on expliquer que le phénomène soit passager et si limité géographiquement ? On peut noter que le premier cas cité en l'an IV concerne l'instituteur de Bedons, fils du maire et comme tel plus au fait de l'actualité. On remarque également que presque tous les mariés sont pasteurs et non cultivateurs, ces derniers étant plus souvent exemptés.

Tout ceci est parti des actes suivants.

Jean, François BARBE, l'aîné, pasteur, se marie à 26 ans le 28.06.1796 (en se rajeunissant de 20 mois) à une veuve de 58 ans. Profitant des facilités de la loi, il divorcera pour épouser en 1805 une jeune de 22 ans.

Bernard, son cadet, présente un acte de naissance erroné lorsque le 8 juillet 1796 il se marie à 24 ans avec une veuve de 66 ans. Comme elle meure 4 ans après, il n'aura pas besoin de divorcer pour pouvoir se remarier en 1812.

Quant au dernier, Jean Pierre, né le 2.11.1785, il sera mis à la retraite en 1813 pour infirmité. Ce "demi solde" épousera en 1821 la sœur cadette de sa belle sœur âgée de 22 ans. Un de leurs fils, engagé volontaire à 20 ans en 1848, terminera sa carrière comme capitaine à 44 ans. Chevalier de la Légion d'Honneur, il avait été fait prisonnier au siège de Metz en 1870.

Un autre exemple familial révèle une énigme qui, peut-être, se rattache à ces moyens de tourner la conscription.

Le 26 juillet 1802 est née Dorothée ROUGLAN, fille illégitime de François, pasteur, âgé de 24 ans et Marguerite, journalière. Or, 5 ans avant le 18.09.1797 (donc avant la date limite fixée par la loi Jourdan) on trouve le mariage du dit François, âgé de 15 ans avec la même Marguerite âgée de 14 ans.

A-t-on voulu légitimer Dorothée en inscrivant un mariage fictif, mais pourquoi cinq ans avant ? Je crois plutôt qu'on a cherché à soustraire à la conscription son père qui avait l'âge requis puisqu'il était né le 21 octobre 1781.

Inutile de vous dire que j'aimerais savoir si vous avez rencontré de tels mariages, disons de complaisance, car l'insoumission jusqu'à la fin de l'Empire et malgré une répression sévère se retrouve partout en France, en Haute-Loire comme dans l'Ouest (Calvados compris) ou le Nord-Pas-de-Calais et dans la Somme.

En tous cas, un conseil si vous voulez bien. N'hésitez jamais à vérifier et contrôler les actes de mariage de l'époque. Les erreurs volontaires ou non y sont fréquentes.

M. MILVILLE n° 552

Notes bibliographiques sommaires.

LEXIQUE

Qui peut apporter des informations ou des renseignements concernant les métiers ou les expressions qui suivent ?

- En 1798, le facturier, le balezeur, dans la région Deux-Sèvres et Vendée
- En 1600-1670, un sergent-royal qui est en même temps notaire à Poitiers
- En 1696, un archer en la maréchaussée générale de Poitou
- Les tailleurs de pierre dans la région de Caen
- Les experts feodistes
- Les réhabilitations de mariage

Bordager-closier

Initialement, la borde est une maison champêtre ou une chaumière qui abrite une famille travaillant la terre et, par extension, les bâtiments annexes servant à l'exploitation rurale. En Gascogne, on a longtemps appelé indifféremment bordiers ou métayers les agriculteurs partageant avec leur bailleur les produits de la propriété, et borde la ferme en général.

Le closier est l'homme de la closerie, du clos, c'est-a-dire d'une terre clôturée qu'il exploite (jardinage, maraîchage, vignes, etc...) et surveille. Les cadastres regorgent de clos, clots et closeries désignant de telles parcelles ou propriétés closes, voire des métairies.

Le bordier-closier apparait donc dés le XVe siècle dans la langue rurale.

Le "dictionnaire de l'ancien français" de A.J. GREIMAS (Larousse) est souvent l'outil de recherches complétant les dictionnaires contemporains, encore que "Le Petit Robert", par exemple, offre avec leur étymologie la datation de l'apparition des mots dans la langue. Ne pas oublier non plus les langues et dialectes régionaux et le sens particulier que ces parlers peuvent donner aux mots, tenant compte des us et coutumes du pays.

M. A.J. BRAUD n° 192

Marchand de tartre

Le tartre est un dépôt salin que laisse le vin dans l'intérieur des tonneaux. C'est un bitartrate de potassium. On en fait de la crème de tartre en le purifiant. Une autre forme est aussi obtenue : le tartre stibié ou tartrate de potasse et d'antimoine (émétique).
Nous savons que émétique vient du grec "emetikos" ou emein = vomir. Qui fait vomir = vin émétique. Or, l'émétique est un vomitif composé de tartrate de potassium et d'antimoine qui est employé en potion ou en tisane à la dose de 3 à 10 centigrammes pour les adultes.
On s'en abstient souvent chez les enfants. Le contre-poison le meilleur est la décoction noix de galle ou de tanin.
Les tartrates, sels de l'acide tartrique sont employés en thérapeutique sous différentes formes :
- tatrate ferrico-potassique, employé comme ferrugineux dans les chloroses et les anémies
- tartrate de potasse, employé comme laxatif ainsi que le tartrate borico-potassique ou créme de tartre soluble,
- tartrate antimonso-potassique ou émétique (tartre stibié) employé comme vomitif,
- tartrate de potasse et de soude ou sel de seignette, purgatif peu usité.
Il est donc vraisemblable que le marchand de tartre soit un tonnelier ou un ouvrier de tonnellerie récupérant le tartre des tonneaux et le vendant aux apothicaires qui le convertissaient en potion vomitive ou laxative, à moins que ce ne soit le tonnelier lui-même qui préparait les décoctions et les vendait pour son propre profit.

M. E. BONNEFOY n° 831

BIBLIOTHEQUE

Bulletins reçus des autres associations

Autres revues

Dons à la bibliotheque

- de M. CHARPENTIER
Notice généalogique sur la famille DE VAVIER, originaire du canton des Grisons de H. ROLLAND

- de M. Edmond AGNET
Relevé des mariages (de octobre 1754 à octobre 1764) de La Teste (Gironde). Il en a dressé des tables annuelles. Un exemplaire a été déposé aux A.D. de Bordeaux. Avec ce dernier envoi, nous possédons la table des mariages de 1754 à 1792 pour cette commune

- de M. Jean HAMEL
Les numéros 1 et 2 du bulletin de l'association des familles HAMEL

QUESTIONS

452 - VILLENEUVE/BELLOT
Recherche tous renseignements sur le hameau "Les Biberons", commune de Villeneuve/Bellot (Seine-et-Marne).

M. BIBERON n° 969

453 - BLASONS
Recherche tous renseignements sur le blason suivant : "de gueule au calice d'argent au chef d'or chargé de trois coquilles d'azur".

M. BIBERON n° 969

454 - DE BEAUFORT/BIBERON
Recherche tous renseignements sur BIBERON Charlotte, veuve de Abel de BEAUFORT, secrétaire des commandements et Finances de S.A.R. Madame.

M. BIBERON n° 969

455 - BIBERON
Recherche acte de baptême de BIBERON Jacques °en 1663 à Paris, faubourg Saint-Germain, maître sculpteur, x 22 avril 1687 à CATLLY Marie (Paroisse Saint-Michel à Bordeaux).

M. BIBERON n° 969

456 - FIEF DE BIBERON
Recherche tous renseignements sur le fief de BIBERON (1597) ancien fief, commune de Larchant (Seine-et-Marne) mentionné dans le dictionnaire de Seine-et-Marne de Stein et Hubert. Les documents concernant ce fief ont été détruits en 1940 aux Archives du Loiret.

M. BIBERON n° 969

457 - MASSE/BOJEE
Recherche mariage Auguste MASSE avec Elisa6eth BOJEE (?) habitant Auriol (13 ?) entre 1730 et 1750. Recherche également naissance de Joseph Toussaint MASSE marié à Mutzig en 1766. Sur son acte de-mariage on peut lire "Auriol Diousis Mepeliensis" ou "Mossilansis". Quel peut être le diocése ?

M. A. GALLIOT n° 16

458 - ALIX/MENARD
Recherche mariage de Joseph Alix (ou ALIS) avec Louise MENARD à Raye (Rahay - 72 ?) en 1790.

M. A. GALLIOT n° 16

459 - GERBAULT
Que sont devenus Louis Théophile GERBAULT né le 23.03.1847 à Tripleville (41) et ses 8 frères et sœurs qui ont habité Morigny (91) à partir de 1855.
Louis Théophile était fusilier-marin. En 1869, il écrit un cahier (que je possède) où il consigne des notes généalogiques et où il évoque ses voyages (aucun rapport avec Alain GERBAULT originaire de Laval).

M. A. GALLIOT n° 16

460 - GARBAULT/LECOMTE
Y a-t-il eu un mariage avec une personne portant le patronyme de LECOMTE ?

M. A. GALLIOT n° 16

461 - BOUSSANGE
Recherche naissance et ascendance de Marie BOUSSANGE qui est décédée en 1883 et s'était mariée à Gabriel DENIS (né le 11.12.1826 à St-Maigner, commune de Pionsat) entre 1843 et 1852 et dont le fils Antoine est né à St-Maigner le 24.03.1859 et décédé en cet endroit le 02.07.1932.

M. BENOIST n° 513

462 - CARON
Recherche tous renseignements sur Estelle, Rose CARON née en 1840 demeurant à Paris en 1863 (27, rue de Balagny) et ayant accouché en 1863 d'un garçon : Alphonse

Mme CARON n° 712

463 - OBERTHUR
Qui peut me fournir des renseignements sur cette famille ?

M. SALOMON n° 369

464 - BLOUZE
Recherche tous renseignements sur ce patronyme en Côte-d'Or entre 1740 et 1750, et en particulier sur Charlotte BLOUZE née à Flavigny (21).

M. REAUX n° 218

465 - REZZOAGLI
Recherche tous renseignements sur ce patronyme certainement originaire de la province de Plaisance (Italie). Recherche plus particulièrement renseignements sur Marie Célestine REZZOAGLI née à Boulogne-Billancourt le 12.05.1877, fille de François et Marie-Louise RATTI, veuve de Pierre GILLES dont elle eut au moins une fille : Jeanne Célestine née à Paris 15éme le 12.04.1909.

M. REAUX n° 218

466 - BESNARD/HERPIN
Recherche tous renseignements sur Jean-Baptiste BESNARD et Jeanne HERPIN mariés avant 1760 (lui né avant 1746, décédé entre 1788 et 1806 et elle née vers 1728 décédée à Moree - 41 - en 1806). Ils ont eu une fille Louise Henriette qui épouse à Moree Pierre Laurent HALé le 19 pluviôse an IX.

Mme AURIFEILLE n° 448

467 - GUILPIN/TOULAN
Recherche toutes précisions sur ce couple dont une fille, Renée Anne, épousa vers 1770 Mathurin LEROY (originaire de Cloye - 28) puis mourut en 1831 à Moree âgée d'environ 80 ans.

Mme AURIFEILLE n° 448

468 - PAPINEAU
Recherche toutes précisions sur cette famille au 17e et 18e siècles, dont une Marie PAPINEAU née avant 1720 et décédée avant 1789 épousa André MOTU (né vers 1696, décédé à Moree - 41 - en 1773) lequel, après qu'elle fût décédée, contracta trois autres mariages.

Mme AURIFEILLE n° 448

469 - ROGER/THRIAUREAU
Recherche tous renseignements sur ce couple : ROGER Sulpice serait né avant 1727, marié avant 1748, décédé avant 1784. THRIAUREAU Marie, sa femme, est décédée entre 1783 et 1828. Leur fille épouse François SORET à Moree (41) le 01.01.1783.

Mme AURIFEILLE n° 448

470 - PICHON
Recherche toute documentation et filiation sur PICHON Louis André né à Nantes en 1771 et décédé à Paris en 1850. Fut diplomate aux U.S.A. à l'âge de 20 ans, fut Conseiller d'Etat et participa à la prise d'Alger. Recherche tous renseignements sur le village qui porte son nom en Algérie.

Mme PICHON n° 721

471 - PICHON/LONGUEVILLE
Recherche étude ou livre de références sur cette famille de vignerons à Bordeaux-Pauillac.

Mme PICHON n° 721

472 - PASQUIER
Recherche acte de naissance et acte de décès à Paris de PASQUIER Etienne, Duc et homme d'Etat français (1767-1862).

Mme PICHON n° 721

473 - DARCAGNE
Recherche signification du nom et tous renseignements sur personnes portant ce nom.

Mme PICHON n° 721

474 - LAMBERT
Recherche ascendance de LAMBERT Louis né à Pouilly/Meuse (55) le 25.05.1742. Marié en la commune le 07.02.1776 à HARBRAN Barbe et décédé au même lieu le 31.03.1823

Mme PINARD n° 384

475 - LEVEBVRE
Recherche ascendance de LEFEBVRE Marie-Catherine décédée à Liart (08) le 8 Mai 1824.

Mme PINARD n° 384

476 - PIERRE
Recherche ascendance de PIERRE Jeanne Julie née à Tréveray (55) le 23.02.1787.

Mme PINARD n° 384

477 - PAGAND/HERMET
Recherche mariage 1871 à 1875 à Montpellier (?) entre PAGAND Pierre et HERMET Anne Marie née à Laroque-Aymard le 26.04.1841. De cette union nait une fille Françoise Eugénie PAGANT à Montpellier le 27.10.1875.

M. LEPAGE n° 675

478 - THEFFO
Quelle est l'origine de ce patronyme signalé sous la forme THEFO dans le répertoire des noms de famille de Basse-Bretagne (Paris-1966) dont l'auteur est Francis GOURVIL.

M. DEYER n° 65

479 - ARCHIVES DES TRIBUNAUX
Où m'adresser pour obtenir une copie d'un jugement rendu par le tribunal de 1ére instance de Corbeil le 14.03.1879 où il apparait que Ambroise Germain DEVER était le fils de Victoire Joséphine PETIT et non de Victoire Joséphine BOISSEAU.

M. DEYER n° 65

480 - TREF
Recherche tous renseignements sur ce patronyme originaire de Lorraine mais ne figurant plus actuellement sur les annuaires téléphoniques des départements lorrains et alsaciens.

M. LE NEZET n° 1020

481 - ZONES FRONTALIERES
Où peut-on trouver des historiques et des actes d'état civil sur les zones frontalières actuelles italienne et allemande pour la période 1794 à 1815.

M. ZELLER n° 4

482 - MALLICK
D'après mes recherches cette famille est originaire de Uverniu ou Uvernia. Cette ville se situe-t-elle en Suisse, en Allemagne, en Hongrie ou en Tchécoslovaquie ?

Mme WENNER n° 51

483 - BLATT ou BATT
Recherche tous renseignements sur cette famille.

Mme DUPOUY n° 564

484 - MALADIES
Existe-t-il des travaux généalogiques ayant pour thème la transmission des maladies ?

Mme DUPOUY n° 564

485 - EXPRESSIONS, METIERS ET RANG SOCIAL.
1) MARCHAND POUPELIER. Quelle est cette profession rencontrée sur un acte de mariage
en 1820 à Sillé-le-Guillaume.
2) NOBLES GENS. Que signifie ce terme rencontré dans un acte de fiançailles en 1760 dans les Côtes-du-Nord.
3) FORTUNE. Quelle idée peut-on se faire de la "fortune" d'un laboureur qui payait 4 soles de taille en 1713.
4) DOCTROVé. Que signifie ce mot placé après le prénom sur l'acte de naissance et sur l'acte de mariage d'un vigneron en 1836 à St-Georges/Cher. Ce mot ne figure pas sur les actes d'état civil concernant ses parents et ses enfants.

Mme MARIAUX n° 724

486 - SANDRE
Recherche descendance de SANDRE Guillaume né entre 1828 et 1830 à Bordeaux et de son épouse Laure Manuelle DE LEON née le 10.04.1821 à Bordeaux.

M. CARDOIT n° 1018

487 - CARDOIT ou CARDOUAT
Recherche tous renseignements sur les origines de ce patronyme. J'ai relevé des CARDOIT et des CARDOUAT dans le Lot-et-Garonne, dans les Landes et dans le Gers.

M. CARDOIT n° 1018

488 - VILLAGE D'ESSYTRE
Recherche tous renseignements sur ce village existant ou ayant existé en tant que commune au début du 19e siècle, soit vers La Ferté-Gaucher, dans la Marne ou dans l'Aisne.
Recherche hameau nommé "Les Perdreaux" qui y était rattaché.

M. COUESNOU n° 554

489 - SARNELLE/PARNELLE
Recherche tous renseignements sur ce patronyme trouvé au hameau "Les Perdreaux" rattaché au village d'Essytre.

M. COUESNOU n° 554

490 - BAUBESTE/BOVESTRE . Recherche toutes familles des noms de BAUBESTé, BAUBESTRE,
BAUVESTRE, BOBESTRE, BOVESTRE pour reconstituer descendance de mon ancêtre à la 12éme
génération : Guiraud BAUBESTE.

M. BEAUBESTRE n° 20

491 - BUGEAUD/COSTES
Recherche mariage d'Aubin BUGEAUD né le 31 Juillet 1722 à Lanovaille - 24 - et décédé le 25.09.1784 vers Sarlandes (24) avec Anne COSTES (née à Angoisse) le 17.07.1768 à Dalon ?

M. BUGEAUD n° 123

492 - ARNOU(X) ou RENOU(X)
Je recherche tous renseignements sur l'origine vendéenne de ce patronyme. Je recherche, en outre, les descendants de ARNOU(X) Jean Baptiste, journalier, né à Vendrennes (85) le 25.09.1821 dont le père était ARNOU(X) ou RENOU(X) Pierre né vers 1785.

M. ARNOU n° 994

493 - BOSSE
Recherche tous ascendants de Louise BOSSE née à Sonzay (37) en 1887. Quelle est sa date de décès ?

M. ARNOU n° 994

494 - MEUNIER
Recherche décès et ascendance de Louise MEUNIER née à Sonzay (37) le 20.02.18

M. ARNOU n° 994

495 - ROBARD
Recherche naissance et ascendance de François ROBARD né vers 1794 à Saint-Gervais (85).

M. ARNOU n° 994

495 - JUGGERY
Recherche toute localisation de ce patronyme et plus particulièrement naissance de Claude JUGGERY vers 1804 à Chalons/Marne et son mariage vers 1821 avec Thérèse CHANOIT avec qui il eut 7 enfants nés à Auxon (70) entre 1824 et 1834. Il décède à Bourbon-Lançy (71) le 23.09.1837.

M. J.L MICHON n°1016

496 - HAUTEMULE/EUBBEN/J0NAS
Recherche tout renseignements ou toute trace d'indication de présence des noms suivants : HAUTEMULE (Paris) - EUBBEN - JONAS (Belgique et France).

M. Christian HAASZ n° 866

497 - FRAUEN
Recherche tous renseignements sur ce nom et sur la famille FRAUEN à partir de 1824 dans le Nord. Mon ancêtre, Claus FRAUEN était arrivé en France, venant du Danemark, en 1824.

M. SAUVAGE n° 555

498 - DESTREBEQ
Recherche décès de Hubert DESTREBECQ survenu après 1760. Le personnage était né le 17.09.1733 à Basécles (Belgique). Recherche également décès, après 1789, de Jacques Joseph DESTREBEQ né le 03.09.1760 à Basécles (Belgique).

M. SAUVAGE n° 555

499 - GELLY/BESSE
Recherche date et lieu du mariage de GELLY Baptiste et BESSE Marie,
certainement en Lozère entre 1750 et 1780. Demande également tout renseignement concernant ces patronymes : étymologie, autres lieux d'existence, etc...

M. VIALA n° 222

500 - VIALA/SALVETAT
Recherche date et lieu de mariage, éventuellement naissance ou décès, de VIALA Barthélémy et SALVETAT Elisabeth. Parents de VIALA Barthélémy né le 10.07.1774 à Montfa-Belleserre (Tarn). Vivaient encore en 1802.

M. VIALA n° 222

501 - MOUYNA
Recherche toutes informations sur ce personnage né le 18.02.1893 à Saint-Félix de Villadeix (Dordogne) ainsi que sur ses enfants : Simone (décédée), Paulette, Jean, Renée, Michel et tous ses descendants.

M. LESCOU n° 527

502 - TOMBEAU DES ANCETRES/TOMBEAUX DE FABRIQUE.
Que signifient ces deux expressions trouvées dans des registres paroissiaux ?

M. LESCOU n° 527

503 - LEFEVRE/MARTINET
Recherche naissance (ca 1760) et mariage de LEFEVRE Françoise (+ le 07.02.1819 à Fleurat et x avec MARTINET Jean, lui-même ° à Fleurat le 19.8.1759). Une fille Marie °en 1807 à Fleurat.

Mme VILLATTE n° 962

504 - BOURALY/GOUMY
Recherche naissances (peut-être en 1757) et mariage de BOURALY Antoine et GOUMY Anne (un fils Jean né à Saint-Sulpice-le-Gueretois en l'an III).

Mme VILLATTE n° 962

505 - GENETON/NICOLAS
Recherche naissance et mariage de GENETON Jeanne (+ le 11.11.1854 à St-Sulpice-le-Dunois et x avec NICOLAS Silvain, lui-même ° le 14.11.1788 à St-Sulpice-le-Dunois). Une fille Silvaine née en 1816 à St-Sulpice-le-D.

Mme VILLATTE n° 962

506 - THOME/PERAUD
Recherche naissances et mariage de THOME Michel (+ en 1761 â`26 ans à Fleurat) et de PERAUD Marie (un fils Joseph ° en 1760 à Fleurat).

Mme VILLATTE n° 962

507 - BUTEAU/GAGNEPAIN
Recherche origine et mariage de Jacques BUTEAU x Thérèse GAGNEPAIN ca 1799. Enfant né à Prémery (58) en l'an VII.

M. MABILLE Alain n° 393

508 - COPPIN/MATORET
Recherche origine de Marie Louise Elizabeth MATORET et son x avec Jean Louis COPPIN ca 1778. Huit enfants nés à Outreau (62) à partir de 1779.

M. MABILLE Alain n° 393

509 - VIALTé/TANTEAU
Recherche origine et mariage de François VIALTé x Elizabeth TANTEAU ca 1815. Sept enfants nés à St-Pierre-le-Moutier (58) à partir de 1822.

M. MABILLE Alain n° 393

510 - MATHIEU/NOEL
Recherche origine des époux Jean Ignace MATHIEU dit "BeauséJour" x Marie Catherine NOEL en 1745 à Cons-la-Grandville (54). J.T MATHIEU était soldat aux "volontaires royaux" (Pas de renseignement à Vincennes).

M. MABILLE Alain n° 393

511 - Tous renseignements sur les familles suivantes :
- QUANTIN en Côte-d'Or (limitrophe Haute-Marne et Haute-Saône)
- DUCERF en Saône-et-Loire
- DERE (DESREY, DE RE) Confins Vienne, Indre et Indre-et-Loire
- LAGARDE dans les Vosges
- BARRAL dans l'Hérault
- FOURNET en Ardèche
- MARMEYS (MARMEIS, MARMIM) en Ardéche

Mme BRUYERE n° 790

512 - POTTIER
Recherche tous renseignements concernant Emilie POTTIER, sans profession. Elle eut une fille, Pauline POTTIER, née à Paris 8e le 15.03.1843 de père inconnu, laquelle a été déclarée avoir été déposée dans le tour à 10 H et être envoyée le 19.03 à l'agence de Blois pour y être placée en nourrice. Pauline a eu un enfant naturel le 1er Mai 1873, Paul Louis alors qu'elle résidait à Poitiers (Vienne). Sa mère l'a-t-elle suivie dans sa nouvelle résidence ?
Les archives parisiennes ayant disparues dans l'incendie de 1871, les diverses associations parisiennes de l'Enfance et les Archives de la Seine n'ont rien pu me dire. La mairie de Blois non plus.

M. PISTORESI J.Claude n° 997

513 - BOITEL/DAUMONT
Cherche mariage et ascendance de Jean Etienne BOITEL (°ca 1847, +27.09.1881 Voncq) maréchal-ferrant, époux de Marie Louise Adèle DAUMONT, arrivés tous deux à Voncq (08) avant 1847.
En général, toute indication de présence de ce patronyme dans les Ardennes m'intéresse

M. MONOT n° 817

514 - MACONS DE LA CREUSE
Pour les besoins d'une étude, recherche tous renseignements concernant les maçons de la Creuse ayant émigré en Saône-et-Loire (paroisses d'origine, dates, lieux d'implantation, alliances contractées, métiers des descendants, anecdotes etc...).

M. SAGOT n° 214

515 - TROUESSIN
Recherche tous renseignements sur TROUESSIN Eugénie Louise Rosalie, d'origine normande, arrivée à Paris en Février 1876 et ° entre 1850 et 1860.

M. LANCIAL n° 977

REPONSES

A l'attention de Monsieur CALMEIN - Réponse aux questions n° 344 et 345

CALMEYN Philippe Jacques x 15.05.1772 Ypres + 06.10.1783 Ypres
KIECKEN Françoise Jacqueline °22.10.1744 Poperinge +18.05.1819 Poperinge

Ascendance KIECKEN

KIECKEN Jean-François °03.03.1691 Poperinge et +29.11.1768 Poperinge
x 11.02.1744 Poperinge
BLANCKAERT Marie-Godelieve °13.03.1715 Houtem et + 03.03.1779 Poperinge

KEICKEN Michel °24.08.1647 Poperinge et +18.10.1720 Poperinge
x
GHYS Marie °08.12.1648 Poperinge et + 13.03.1718 Poperinge

BLANCKAERT Pierre
VAN BELLE Jacqueline

Descendance CALMEYN

- CALMEYN Philippe Jacques François °15.07.1780 Ypres et + 15.09.1862 Steenvoorde
x 17.08.1808 Quaedypre
MATTON Marie-Jeanne Thérése °18.11.1774 Socx et + 31.12.1822 Quaedypre

- CALMIN Pierre Jacques Louis °06.11.1811 Quaedypre et + 30.12.1881 Hazebrouck
x 25.10.1841 Steenvoorde
FONTAINE. Marie Amélie Reine °30.10.18180Hazebrouck

- CALMIN Louis Armand Henri °22.02.1843 Steenvoorde et +17.09.1893 Steenvoorde
x 05.06.1867 Hazebrouck
BOLLIER Marie-Thérése °01.02.1842 Hazebrouck + 20.11.1910

- CALMIN Marie-Léonce °25.11.1867 Hazebrouck +24.11.1946 Steenvoorde
x 26.05.1892
CAEREL Henri Emile °10.03.1865 Steenvoorde et + 06.02.1939 Steenvoorde

VLAAMSE VERENIGING VOOR FAMILIEKUNDE
Van Heybeeckstraat, 3
2060 ANTWERPEN-MERKSEM

A l'attention de Madame CABRIEL - 349

Les archives départementales de Strasbourg possèdent bien les microfilms des
Mormons mais refusent les transferts.

Monsieur GALLIOT n° 16

A l'attention de Monsieur CAJAT - 316

SOYE-EN-SEPTAINE est une commune à 10 km au Sud-Est de BOURGES

Monsieur GALLIOT n° 16

A l'attention de Madame Marie-José COUR (CGH Auvergne et Velay) - 318

Je trouve des COUR parmi mes ancêtres dans le Doubs :
- COUR Louise née à Branne (25) prés de Clerval, en 1860, fille de
- COUR Joseph né à Hyeire-Paroisse (près de Baume-les-Dames) en 1833, qui avait épousé Jeanne LONCHAMPT et était fils de COUR Jean-Claude
- COUR Françoise née à Fontenelle-Montby près de Clerval, épouse à Branne Jean-Claude PERNOT en 1860
- COUR Claude naît à Fontenelle-Montby en 1831, fils de COUR Joseph
- COUR Jeanne naît au même lieu en 1832 et est la fille de COUR Gabriel
Ce patronyme semble assez usité dans le Doubs. Avez-vous d'autres renseignements sur ce patronyme ?

Madame CARON n° 712

A l'attention de Madame Jocelyne PICHON - 361

a) selon les termes de la loi française, tout prénom faisant partie des prénoms traditionnels des ressortissants français peut être attribué (calendriers exhaustifs des différentes religions reconnues en France, dictionnaire des prénoms, citation de ressortissants célèbres ou non, de français ayant porté le dit prénom, annuaires, répertoires, etc...)
b) Flannery O'CONNORS se trouve peut-être fréquemment aux USA mais a une consonance typiquement irlandaise, par rapprochement peut être admis le phénomène celte, donc, logiquement, non assimilable à un prénom français. Toujours selon la loi : "vous n'avez qu'à justifier d'une parenté irlandaise et il n'y aura aucune opposition..."
c) prouver au Procureur de la République l'origine vendéenne du 18e siècle est on ne peut plus facile. Mettez-vous en relation avec un correspondant ou un archiviste de la région concernée et recherchez dans les répertoires des registres de notaires les traces d'actes où pourrait être cité le dit prénom par X porteur. Photocopier les dits actes, faire porter la mention de conformité et présenter les pièces au Procureur.
Il n'y a, à ce jour en France, aucune autre solution malgré les termes de la loi qui laisse à l'Officier d'état civil une très grande liberté quant à l'enregistrement des prénoms.

Monsieur SENET Alain
27/29, place Catinat
59800 Lille

A l'attention de Madame Jocelyne PICHON - 361

L'ouvrage "Martyrologe universel traduit du Martyrologe romain" par M. de Saint-Alais, éditions Paris-Michaud, 1823, donne les noms des saints jour par jour. Il y en a plus de 30 certains jours. La table générale alphabétique située en fin de volume a 147 pages, répertoriant quelques 12.000 saints au total. Parmi eux pas de Flannery. Seulement un Flanne, abbé à Armagh (Irlande) que l'on fête le 24 avril.

Monsieur GALLIOT n° 16

A l'attention de Monsieur SALEUR - 380

Le nom de SALEUR existe dans le pays de Montbéliard et quelques autres lieux de Franche-Comté. Il est une transformation de SARLER, d'origine autrichienne (tyrolienne ?).

M. CHIPAUX n° 103

A l'attention de Monsieur DELRIEUX - 359

Trouvé une famille BONFILS à Montauroux 83440 Fayence.

M. JOBARD n° 27

A l'attention de Monsieur VIALA - 341

BENAZECH Jeanne, fille de Jacques BENAZECH et de Marie ROLLON, mariée le 12.08.1781 à Roquecourbe (81) avec DOUZALS David (tonnetier, "non catholique") fils de David DOUZALS et de Marie FOURGASIé. 3 enfants au moins :
- Elisabeth née le 22.05.1782 à Roquecourbe
- Charles né le 06.09.1783 à                "
- Etienne né le 12.08.1789 à                "

M. ROUGER Marc n° 637

A l'attention de M. Michel DAVY - 233

LAVIGNE/BOINET : Mathurin LAVIGNE marié le 29.01.1798 à Quessoy (22) avec Françoise BOINET (née le 13.02.1781 à Quessoy, fille de François et Jeanne MORIN).

M. DAVY n° 457

A l'attention de Monsieur André BIARD - 343

BIARD Pierre marié à MARC Jeanne, d'ou BIARD Pierre né à Archiac (16) le 11.02.1796 marié au même lieu le 01.05.1819 avec Marie GRAVAUD. Décès non trouvé.
Pierre et Marie BIARD ont eu Zelie BIARD, née à Archiac le 16.07.1825 et mariée à
Arthenac (16) le 31.01.1847 avec DURAND André. Décés non trouvé.
Ce couple a eu Alexis Clément BIARD né à Archiac en 1885, décédé le 30.12.1938 à Royan, route de la Tremblade. Il était entrepreneur de maçonnerie.... et mon ancêtre n° 12

Mme Patricia SERY (non PTT)
Le Promontoire E
29, rue des Salves
06510 Carros-le-Neuf

A l'attention de M. Thierry VIALA - 430

Acte de mariage de Pierre MANEN, tisserand, domicilié à Puech-Auriol, né à La Fabrié commune de Gibrondes, le 22 Brumaire an V, fils de Jean MANEN, cultivateur à La Fabrié, et d'Elisabeth FOURNIALE et de Catherine CATHALA, cuisinière, domiciliée à Castres, née à Benezech-Castres le 30 Vendémiaire an III, fille de Alexis, cultivateur et de Anne VIALA, LA BELUGARIé,
BURLATS, autorisee par son pére seulement pour cause de désentement.

M. HOLMIERE n° 870

A l'attention de M. PLUCHOT - 350

COMTE. Nombre de titres de Comtes et de Vicomtes n'ont que la valeur de titres de cour, dits "titres de courtoisie". Les collecteurs de la taille recherchaient les faux nobles mais non les titres irréguliers portés par certains nobles. La pratique des titres irréguliers devient fréquente à partir du règne de Louis XIV dans la vie courante, mais n'atteint jamais les actes officiels de l'Etat.
Les titres pris arbitrairement ainsi par les nobles (écuyers ou chevaliers) pouvaient également avoir pour justification - fort discutable - l'usage fâcheux introduit à la Cour d'envoyer à toute personne devant être "reçue", c'est-a-dire présentée au Roi et selon le terme "admise aux honneurs de la Cour" une invitation portant un titre, généralement celui de Comte, même si cette personne n'avait pas un titre régulier. Ce sont ces titres que l'on disait "de courtoisie". Mais ils n'avaient aucune valeur legale.
C'est ainsi qu'un grand nombre de nobles portaient des titres de courtoisie ou s'en voyaient donner par d'autres dans leurs rapports mondains, à la fin de l'ancien régime et sous la Restauration.
C'est ainsi qu'un noble du Soissonnais, appartenant à une famille de noblesse immémoriale, dont tous les membres étaient jusqu'alors qualifiés d'écuyers et de chevaliers, ayant son fils aîné présenté au Roi Louis XVIII au début de l'année 1817, puis admis comme garde du corps du Roi, maria le cadet de ce fils à Paris le 30.09.1829.
L'acte de mariage et le certificat délivré par la paroisse Saint-Thomas d'Aquin donnèrent au père du marié le titre de Comte et à son fils celui de Vicomte. Un oncle du marié, rappelant que leur ancêtre commun (qui avait été capitaine des gardes du Roi Henri IV après avoir été gentilhomme de la chambre du Roi Henri III de Navarre) n'avait jamais été autre qu'écuyer, se moquait dans une lettre à son fils de ces "comtes de fabrique et autres barons d'agneau" pour condamner cette vanité qui portait atteinte au reste de prestige de la noblesse authentique ayant fait ses preuves.
Il faut aussi préciser que les mémoires établis par les généalogistes pour rappeler les filiations en vue de recevoir les honneurs de la Cour, ne devraient pas être admis comme preuve de noblesse.
Combien de titres portés encore aujourd'hui ne tirent-ils pas leur origine des libertés prises avec les règles anciennes de cette classe sociale, sans parler des usurpateurs qui abondent et font plus ou moins illusion ?

M. BRAUD n° 192

A l'attention de Monsieur SAGOT - 514 - MACONS DE LA CREUSE

Parmi mes ascendants se trouvent deux familles originaires de la Creuse et ayant émigré en Saône-et-Loire :
Louis LAPORTE, maçon, ° 01.11.1782 à Dontreix (23) x 15.11.1813 à Cruzille (71) à PAULIN Jeanne °20.11.1795 à Cruzille
MERCIER François, maçon, °1752 à St-Etienne de Faux-la-Montagne (23) x ca 1785 à Bourgvillain ? (71) à POINT Françoise °1765 à Bourgvillain

M. TISSERAND n° 201

PALEOGRAPHIE (3)

par Eric HALES-PARARS

I) L'ECRITURE

* 1er texte : 1755

Ca y est ! Nous avons sauté la barrière de la Révolution. Une bien petite haie en fait, qui découvre l'horizon du XVIIIème siècle avec ses petits nuages (de gros pâtés d'encre) certes, mais surtout inondé des grandes plages de ciel bleu (les belles pages calligraphiées d'avant hier). Ici les curés ont tous pouvoirs sur l'état civil de nos ancêtres, et nous devons apprendre leurs habitudes pour saisir sans difficulté l'intégralité des actes. S'ils règnent en maîtres sur les cahiers paroissiaux, tous les prêtres se soumettent aux mêmes règles d'abréviations, aux mêmes formules.

En guise d'échauffement je vous soumets un texte très facile à lire. Fermez les yeux sur les fautes d'orthographe et de grammaire, ainsi que sur les taches, sans doute dues à une plume récalcitrante !

Ce qu'il faut noter :

- ligne 5 : le "r" de Moraux                      (

)

	- ligne 11 : le "s" de cousin                    (		)
	- ligne 1 le chiffre "5" assez particulier (		)

Une méthode supplémentaire à celles données la dernière fois pour reconnaitre les noms de personnes : comparez ce qu'écrit le curé avec ce que signent les intéressés, s'ils savent signer bien sur ...

* 2éme texte : 1748

A peu de temps d'intervalle une écriture complètement différente de la précédente, ce qui ne veut pas dire plus facile. Si elle semble plus ronde, plus proche de nous, ne vous y fiez pas. Lorsque ce n'est pas l'écriture qui pose problème l'orthographe et la grammaire font défaut au scribe. On ne peut cependant pas en vouloir à celui-ci encore très empreint du vieux style français, utilisant des tournures de langage et des phrasés "rustiques".

Commencez enfin dès maintenant à distinguer un "s" (

) d'un "f" (

). Pour cela comparez ligne 9 "Fauvin" avec ligne 11 "Assigeneau".

II) LES TEXTES

Note : Rappelez vous bien que vous n'arriverez pas d'un seul coup à lire les textes que je vous propose. Habituez-vous à employer la méthode qu je vous ai déjà proposée : lisez une première fois les actes en sautant les mots qui vous semblent illisibles. Revenez ensuite sur ceux-ci avec l'aide des informations que je vous donne en première page.

LISTES DE PATRONYMES